lundi 29 novembre 2010

Juifs et Turcs

Juifs et Turcs

Article publié dans Rivarol (septembre 2007)

Juifs et Turcs contre les chrétiens

Nous trouvons, dans le livre d’André Harris, Alain de Sédouy intitulé Juifs et Français (Grasset 1979, Poche), un intéressant témoignage sur les atrocités commises par les Turcs contre les populations grecques après la Première Guerre mondiale. Voici ce qu’en dit un certain Maurice Denailles, commerçant du Sentier interrogé par les deux journalistes. Celui-ci est un juif d’origine turque, né en 1912, et qui a émigré en France en 1924. Il se souvient de l’arrivée au pouvoir de Mustapha Kemal : « Mes premiers souvenirs sont horribles, dit-il. C’est déjà un génocide. J’ai assisté au massacre des Grecs de Smyrne, j’ai vu des quartiers entiers brûler. J’ai vu les Turcs parader avec des colliers faits de bouts de seins. J’ai vu des popes grecs descendre en rang le long des rues, obligés de marcher sur des tessons de bouteilles jetés par la foule. »

Maurice Denailles, quant à lui, se réjouit que les juifs n’aient alors pas eu à souffrir de la fureur des Turcs : « Heureusement, explique-t-il, Kemal avait une mère demi-juive, ce qui nous a valu, cette fois-là, d’être épargnés. » (page 94)



Détruire les églises

Depuis fort longtemps déjà, les juifs nourrissent de grandes espérances sur les Turcs. En 1453, au moment de la prise de Constantinople par les Ottomans, les juifs se réjouissaient de la défaite des chrétiens.

Dans son livre Rendez-vous avec l’islam (Grasset, 2005), Alexandre Adler confirme bien que les juifs ont soutenu à cette époque l’invasion turque, de même qu’ils avaient soutenu l’invasion arabe en Espagne quelques siècles plus tôt. « Partout dans leur avance, écrit-il, les juifs… accueillent les Turcs en libérateurs. » (page 168).

Voici ce qu’en écrit le grand historien juif Léon Poliakov :

« Dans certains milieux marranes, cette victoire des “Ismaélites”, qui a laissé une impression prodigieuse à travers toute l’Europe, fut comprise comme le présage de la chute prochaine “d’Edom” [la chrétienté, ndlr] et de la délivrance imminente d’Israël. »

Les juifs s’attendaient alors à la venue de leur Messie tant espérée : « Un actif conventicule de Marranes à Valence, assuré que le Messie venait d’apparaître sur une montagne près du Bosphore, se prépara alors à émigrer en Turquie : “… Les goys aveugles ne voient pas, disait une zélatrice du groupe, qu’après leur avoir été soumis, notre Dieu fera en sorte que nous dominerons sur eux ; notre Dieu nous a promis que nous irons en Turquie ; nous avons entendu dire que l’Antéchrist va venir ; on dit que le Turc détruira les églises chrétiennes et en fera des étables pour les bestiaux, et qu’aux juifs et aux synagogues, il fera honneur et révérence…” ». (Histoire de l’antisémitisme, tome I, Point Seuil, 1981, p. 155).



L’alliance contre les chrétiens

On sait que de nombreux juifs avaient trouvé refuge dans l’empire ottoman après leur expulsion massive d’Espagne et des nombreuses possessions espagnoles en 1492. Parmi eux, il y avait le fameux Joseph Nassi, qui était l’héritier de la richissime famille Mendès. Celui-ci gagna la faveur du sultan Soliman. Poliakov écrit à son sujet : « Grâce à un réseau international marrane », il fut pendant une quinzaine d’années « l’homme le mieux renseigné d’Europe, et ses informations, doublées de ses cadeaux, lui permettaient de constituer à lui seul un “groupe de pression”, d’infléchir la politique étrangère ottomane, de décider même de déclarations de guerre et de conclusions de paix. » (page 211).

Ennemi juré de la chrétienté, Joseph Nassi entendait bien se venger des chrétiens, par Turcs interposés. En 1569, Nassi, fait duc de Naxos par le Sultan quelques années plus tôt, « conseille à Soliman d’attaquer Venise pour prendre Chypre dont il veut faire un refuge pour les Juifs, écrit Jacques Attali (Les Juifs, le monde et l’argent, Fayard, 2002, pp. 265).

Léon Poliakov écrit pour sa part : « Lorsqu’il poussa en 1570 Sélim à faire la guerre à Venise, l’entreprise débuta par la conquête de Chypre, dont il espérait devenir roi ; on sait que la grande île est le marchepied géographique de la Palestine. Mais la prise de Chypre suscita l’alliance entre Venise, le Saint-Siège et l’Espagne, et aboutit à la grande défaite navale turque à Lépante. En conséquence, Nassi tomba dans une demi-disgrâce… et d’autres favoris juifs le supplantèrent dans la faveur du Sultan… Son nom, qui pendant quinze ans ne cessa de défrayer la correspondance diplomatique européenne, fit encore longtemps après sa mort travailler les imaginations, écrit Poliakov. Il concourut, à travers Le Juif de Malte de Marlowe, à la cristallisation de l’image de Shylock, le marchand de Venise." (p. 214).



Les origines juives du kémalisme

Il faut savoir que le mouvement des Jeunes Turcs au début du XXe siècle, la révolution kémaliste et le laïcisme occidental de la Turquie trouvent une partie de leurs origines dans le judaïsme. Les Donmehs ─ des juifs faussement convertis à l’islam (cf. Psychanalyse du judaïsme, pages 158-164) ─ ont effectivement joué un rôle important dans l’histoire récente de la Turquie. Voici ce qu’en dit Gershom Scholem, qui est l’un des grands penseurs juifs du XXe siècle : Les Donmehs, écrit-il, « ont fourni de nombreux membres à l’intelligentsia des Jeunes Turcs… Ils ont joué un rôle important dans les débuts du Comité Union et Progrès, organisation du mouvement Jeune Turc qui eut son origine à Salonique… On a la preuve que David Bey, un des trois ministres du premier gouvernement Jeune Turc et chef important du parti Jeune Turc, était un Donmeh. » (Le Messianisme juif, 1971, Calmann-Lévy, 1974, p. 235).

Le très influent directeur de presse Alexandre Adler confirme les origines juives et maçonniques de la Turquie kémaliste : « L’un des fondateurs au moins du mouvement Jeune Turc, le 14 juillet 1889, jour centenaire de la prise de la Bastille est un Donmeh avoué, Sükrü Dey. Plusieurs généraux Donmehs se battront à la tête de leurs troupes… dans les malheureuses guerres de l’empire. Mais l’entourage de Mustapha Kemal, malgré sa totale rupture avec son comploteur ministre des Finances donmeh Djazid Bey, sera toujours rempli de sabbatéens [les Donmeh, ndlr] (et par ailleurs d’une coterie de franc-maçons musulmans sunnites à l’origine, de rite écossais). » (Rendez-vous avec l’islam, page 175).

Dans une conférence du 14 mars 2005 à la maison Itshak Rabin, Alexandre Adler s’exprimait un peu plus librement, devant un public juif : « Vous ne serez pas étonnés d’apprendre que j’ai de nombreux amis Donmeh, c’est-à-dire disciples de Sabbataï Zevi, et je les trouve assez extraordinaires… S’il n’y avait pas autant de Donmeh dans les élites turques de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, il n’y aurait pas eu de kémalisme. »

Et Adler ajoute : Les « grands Donmeh » ont été « à la tête de la réforme de l’école en Turquie » et ont créé « les premiers lycées modernes dont celui où Mustapha Kemal a fait ses études à Salonique. Bien sûr, poursuit Adler, les islamistes turcs disent que Kemal lui-même était un Donmeh, c’est faux. En revanche, son entourage, ses amis, étaient fortement Donmeh. » (http://www.beit-haverim.com/anoter/ConfAdler0305.htm).

C’est l’influence de ces juifs Donmeh, convertis faussement à l’islam, qui permet d’expliquer l’alliance actuelle entre la Turquie et Israël, explique Alexandre Adler : « S’il n’y avait pas eu de Donmeh qui ont occupé le poste de ministre des Affaires étrangères durant les trente premières années de la Turquie laïque et qui encore aujourd’hui représentent 40 % des ambassadeurs de Turquie dans le monde, dont la totalité des ambassadeurs de Turquie aux États-Unis, depuis maintenant 1950, sans doute que la Turquie ne serait pas l’alliée d’Israël. » (Cf. Psychanalyse du judaïsme, pages 158-164).

Il reste à savoir dans quelle mesure les généraux donmehs des armées turques ont joué un rôle dans les massacres des chrétiens en Turquie après la Première Guerre mondiale, et dans le génocide des chrétiens d’Arménie. Mais ceci est une autre histoire.

Hervé RYSSEN

Source : http://herveryssen.over-blog.com/pages/juifs-et-turcs-4080240.html

vendredi 12 novembre 2010

Nos ancêtres, pas les vôtres.





L'idéal grec :

Le nez droit, mince, implanté haut, directement en prolongement du front.
Les cheveux noirs et ondulés.
Les cils longs.
Les sourcils fournis et harmonieux.
Les yeux noirs grands et brillants.
Le visage étroit, ciselé, d'une forme ovale régulière, souvent atténué vers le bas.
Le menton est solide et fort.
Les lèvres généreuses.
La pigmentation de la peau est brune-blanche, et non rose-blanche comme les Skuthôn (Schytes) et les Keltôn (Celtes), ni même brune foncée comme les Aiguptious (Egyptiens) et les Aithiopas (Ethiopiens). (cf. "Cherry picking")

Alexandre le Grand n'était ni un Slavo-tatare en crise identitaire (FYROM), ni un Scandinave blond aux yeux bleu (Nordicshit), ni un pédéraste incarné par un irlandais (le juif Oliver Stone et son film de merde) mais de race hellène présentant les mêmes caractéristiques raciales susmentionnées :

Dienekes Pontikos sur l'illégitimité ethnique des Turcs en Asie Mineure



"Many Anatolian Turks have traces of Mongoloid ancestry in their phenotype. Turanids of the kind one is likely to encounter in Uzbekistan are of course rare, but many Turks nonetheless show signs of non-Caucasoid admixture.

Of course the Turks encountered a large population when they arrived in Anatolia, but that does not mean that they were diluted in this population. First of all, only part of the population of Asia Minor converted to Islam and became Turkified linguistically, and it is this part which forms the main native population of Anatolia today, the non-Muslim elements having been killed and driven away long ago.

Among the Turkic-speaking Muslims of deep Anatolian ancestry the presence of non-Caucasoid phenotypic elements is strong; among the average present-day "Turk", less strong yet existent in considerably degree."


"The point is that the early Turks didn't mix with all the population of Asia Minor, but only with part of it, namely the part that became Muslim. They were diluted in a bigger population (of Asia Minor) but not in the total pre-Turkish population of Asia Minor.

Most Turks are hybrids between Anatolians and original Turks, hence Caucasoid with small Mongoloid admixture. There is however a minority of more conservative Turks who are more descended from the original Turks, as well as a minority of Muslims who never came into serious contact with real Turks and is entirely Caucasoid.

So, modern Anatolian Turks = minority of Caucasoids with strong Turanid tendency + majority of Caucasoids with weak Turanid tendency + minority of Caucasoids with no detectible Turanid tendency"


"Turkic speaking groups of Central Asia and Siberia (which is usually what is meant by "Turanid") show an assymetry in the proportion of paternal and maternal Caucasoid lineages, with an overrepresentation of Caucasoid paternal lineages and Mongoloid maternal lineages. This is likely due to the fact that they are descended from steppe Iranic tribes which picked up indigenous women in their Eastern expansion in the prehistoric period, followed by the reverse expansion of Altaic speaking peoples in the last 1,000 years.

http://dienekes.ifreepages.com/blog/...es/000210.html

The assymetry has the following consequence: that early Turks who imposed the Turkish language in Asia Minor were probably more "Caucasoid" paternally and "Mongoloid" maternally. Actually, the early Turks were probably even more "Caucasoid" paternally than the present-day Turkic populations of Central Asia whose patrilineages were further influenced by the westward expansion of the Mongols.

Today's Anatolian Turks exhibit a frequency of 3.4% Mongoloid patrilineages:

http://dienekes.ifreepages.com/blog/...es/000413.html

If we allow that early Turks may have had something like e.g., 1/3 Mongoloid patrilineages, then the current frequency in the Anatolian population would be consistent with ~10% genetic input of Central Asian Turks, a significant amount which explains why Turanid-influenced Anatolian Turks are a common sight, especially since this ~10% is not uniformly distributed in the Anatolian population."


"The Christian Greek-speaking Romans of Asia Minor were Greeks. The present-day Moslem inhabitants of Asia Minor, due to the Seljuk and Ottoman occupation are descendants of the above-mentioned Greeks and other groups (Persians, Caucasians, Balkan peoples, Arabs, Gypsies, original Turks, etc.). Only in Western Asia Minor, Eastern Thrace and the Pontus are groups of people predominantly descended from the Greeks to be found."

"The "Byzantines" were the Greek-speaking, Christian Romans of the Eastern Empire. The "strangers" in Asia Minor are the Moslem Iranoid-Pamiroid-Mongoloid "Turks"."

"Turks" is a euphemism for the Moslem population of Turkey. This population is mostly Anatolian in racial origin, with a generous infusion of Balkan, Caucasian, Arab, Persian, Gypsy as well as some Mongoloid and lesser Negroid elements. Linguistically, the "Turks" are Altaic.

As Moslem, Altaic-speakers of mostly native Anatolian biological origin, the "Turks" are not related to either Ancient Greece or the Eastern Roman Empire. At most, one can say that sizable minorities in the Aegean coastline and in the Pontus are of Greek biological descent, although urbanization and differential fertility rates between secular and Moslem "Turks" is resulting in the rapid extinction of such differences."


Détail amusant, Iskender Kortuglu alias Le fils de la Louve, la pute métisse turanatolienne avait pointé Dienekes Pontikos dans ces liens amis.

Que les louves hybrides retournent au fin fond de leurs steppes.

mercredi 10 novembre 2010

Résiste







Résiste aux Croates
Résiste aux Judéo-saxons
Résiste aux mishellènes
Résiste aux Youdes
Résiste aux Albanègres
Résiste aux Tatars
Résiste aux Slaves
Résiste aux Turcomongoles
Résiste aux FyromacDonaldiens
Résiste aux Ogzidentaux
Résiste aux Suédo-lapons
Résiste aux Nordicshit

Jusqu'au dernier souffle.

Adolf Hitler devant la Grèce partie 2



Les liens entre l'Allemagne national socialiste et la Grèce
« SIGNAL » N° 12, 1941.


« Toute une civilisation lutte pour son existence, et cette civilisation durera mille ans parce qu’elle alliera l’hellénisme et le germanisme. »
(Adolf Hitler, Mein Kampf)



L’ALLEMAGNE ET LA GRECE LIEES POUR TOUJOURS

« Nous avions entendu beaucoup de gens parler de la bravoure et de l’héroïsme de l’armée grecque. Mais n’aurions jamais pu imaginer la bravoure et l’héroïsme que vous, soldats grecs, avez montrés. » – général Böhm, de la Wehrmacht allemande.


Jamais l’esprit grec et l’esprit allemand ne furent aussi proches que durant l’époque nationale-socialiste. L’éthique SS ressemblait au code d’honneur spartiate, pendant que le patriotisme du peuple allemand évoquait celui des anciens Grecs. Le caractère aristocratique et méritocratique du régime nazi était lui aussi une renaissance de l’ancienne dimokratia grecque. Les parades martiales ressemblaient à celles de l’armée d’Alexandre le Grand, et les valeurs traditionnelles de famille, de race et de nation étaient les mêmes que celles des Grecs. L’eugénisme fut aussi une invention de l’esprit grec, une invention que les Allemands développèrent. Les idéaux de beauté, de santé, de vertu et de bravoure sont des idéaux helléniques historiques. L’admiration pour la beauté du corps humain est aussi purement grecque. Les rituels païens des fêtes nazies étaient apparentés à ceux de la Grèce païenne. Même l’esthétique du national-socialisme est alignée sur celle de l’ancienne Hellade. La cosmogonie nationale-socialiste est si proche de la grecque qu’on pourrait facilement les confondre.

De telles similarités ne sont pas sorties de rien. Non, le fait est qu’il y a en effet des liens de longue date entre l’Allemagne et la Grèce. Il y a certainement une union métaphysique entre la Grèce et l’Allemagne. C’est un lien spirituel, car les deux nations partagent des valeurs et un caractère similaires qui transcendent le monde physique. Les philosophes grecs et les philosophes allemands, l’éthique païenne des Grecs et l’éthique païenne des Allemands, la mythologie grecque et la mythologie germanique, la sensibilité artistique grecque et la sensibilité artistique allemande, sont tous nés de la même tournure d’esprit, de la même âme raciale, du même sang. C’est vrai, la Grèce et l’Allemagne sont métaphysiquement unies par une base de valeurs morales et spirituelles. Une âme formée exactement des mêmes valeurs, des mêmes traits.

Les Allemands modernes, comme les Grecs modernes, sont très conscients de ce lien. Ils voient dans les autres un peuple apparenté. Quand l’Allemagne occupa la Grèce, les officiels et les soldats allemands se pressèrent aussitôt devant l’Acropole et les autres sites grecs, avec une dévotion religieuse. Les militaires allemands approchaient des vestiges de l’ancienne Grèce d’une manière si respectueuse qu’on aurait pu croire que ces vestiges étaient l’héritage direct des ancêtres des Allemands ! Dès que la Grèce fit partie du Troisième Reich, la machinerie archéologique allemande se mit en marche. Himmler ordonna des explorations, Hitler commanda des fouilles et beaucoup d’officiers de la Wehrmacht montrèrent un grand intérêt pour la préservation des ruines grecques et pour leur protection sur leur sol natal hellénique. D’après l’historiographie nationale-socialiste, les anciens Grecs étaient les ancêtres des Allemands modernes.

Oui, Hitler utilisa des motifs grecs et des insignes helléniques pour envelopper l’image de son mouvement politique et, en faisant cela, aligna le destin de l’Allemagne fasciste sur les traditions antiques, mais les liens transcendent l’esthétique pour atteindre une dimension métaphysique.



L’ALLEMAGNE ET LA GRECE :
CE QU’ELLES ONT ETE ET CE QU’ELLES SERONT

« Que chacun soit grec à sa manière, mais qu’il le soit ! »
(Goethe)


Pendant la campagne gréco-allemande eut lieu un événement unique dans la série de batailles que le Reich avait menées depuis 1939 : les Allemands se contentèrent de désarmer les soldats grecs et de les renvoyer immédiatement dans leurs foyers. Les souffrances de la captivité ne leur furent pas épargnées seulement parce qu’ils avaient combattu héroïquement ; le fait que nous ne voulions pas les faire prisonniers est la plus claire expression de l’affection qui nous unit, nous Allemands, à eux.

LE MYTHE DE PERGAME

Le nom de l’Hellade a pour tous les Allemands une résonance particulière. Dans la capitale du Reich, Berlin, existe un musée construit spécialement dans l’un des endroits les plus beaux, l’autel de Pergame, que les archéologues allemands ont extrait du sol turc. En Allemagne, c’est un véritable centre de pèlerinage. Les professeurs emmènent les étudiants devant cet autel et leur expliquent le sens de la fresque, un don suprême fait au monde par l’esprit hellénique.

Sur cette fresque, les géants de l’abysse mènent une terrible bataille pour le pouvoir contre les enfants de la Lumière, les dieux du Mont Olympe. C’est le combat que la masse grossière des Ténèbres mène contre les porteurs de la Lumière, qui détient la force de l’esprit. Les forces brutales et primitives contre la civilisation. Les enfants des ténèbres ne peuvent pas éteindre le feu sacré et, vaincus, ils retournent dans la nuit, d’où ils étaient sortis ; l’esprit prévaut pour toujours sur la matière. C’est de cette manière que les professeurs expliquent à la jeunesse allemande l’ancien mythe gravé sur la fresque de Pergame. Par conséquent, comme il a dû être difficile pour les Allemands de prendre les armes contre les Grecs ! Le combat requérait une énergie redoublée, afin d’épargner autant que possible les souffrances de la guerre ou du moins de les abréger. Durant cette campagne, aucun Grec ne fut maltraité dans le Reich et l’Allemagne déclara immédiatement après la fin de la campagne que la Grèce devait être séparée du petit groupe de puissances qui l’avait faite entrer dans cette guerre contre-nature. Oui, la guerre entre l’Allemagne et la Grèce fut considérée comme monstrueuse par les Allemands. Dans les deux derniers siècles, le peuple allemand a constamment prouvé par des paroles et par des faits son étroite amitié avec le peuple grec et à quel point il était important pour les Allemands de vivre en amitié avec les Grecs.

Quand les Grecs se soulevèrent en 1821 contre l’occupant turc et proclamèrent le combat pour la liberté, une énorme foule de jeunes Allemands se portèrent volontaires pour combattre aux cotés des Grecs. Cela eut lieu bien que l’Allemagne souffrait encore de l’effort surhumain de sa propre guerre de libération contre la tyrannie française. Goethe, notre pur génie, bénit l’action de la jeunesse philo-hellénique d’Europe et considéra comme un symbole que l’héroïque Lord Byron, qui donna sa vie en Grèce en combattant contre l’Angleterre, était mort dans les bras d’un Allemand, le Dr. Heinrich Treiber, qui combattait dans les rangs des rebelles grecs en tant que docteur et soldat. Quand les Grecs gagnèrent la liberté, ce fut ce Dr. Treiber qui dirigea bénévolement la nouvelle organisation sanitaire grecque. En 1854, une épidémie de peste apparut à Athènes et au Pirée. Parmi les Grecs on pouvait voir un vieil homme parcourant les rues désolées ; c’était encore ce Dr. Treiber, qui se rendait chez les malades pour leur apporter une aide médicale. Mais il ne fut qu’un des enfants du Reich qui avaient consacré leur vie à la Grèce.

L’Allemagne n’a pas l’intention de marchander la participation des autres nations pendant ces années, et n’affirme pas non plus que son amour pour la Grèce est inspiré seulement par les sentiments d’un bon Samaritain. L’Allemagne voulait quelque chose de la Grèce, elle voulait arriver aux sources de cet esprit auquel les Allemands se sentent si attachés.

LE REVE BYZANTIN

La conscience hellénique, telle que les Allemands la comprenaient, était étrange pour les Grecs du siècle dernier, pour les combattants de la Guerre d’Indépendance de 1821. Ils ne voyaient pas leur cause avec les yeux d’Homère, dont les chants furent si rapidement traduits en langue allemande par Heinrich Voss. Il s’était écoulé presque deux mille ans depuis la Grèce antique qui se souvenait de l’âme des Germains. Troie, Olympie et les tombes de Mycènes étaient recouvertes de déchets et de cailloux ; l’Acropole était devenue un entrepôt de poudre à coté duquel les Turcs avaient bâti une mosquée, et les soldats, pour se distraire, tiraient sur les figures des fresques du Parthénon et les Grecs eux-mêmes ne s’indignaient pas en voyant les figures de Phidias transformées en cibles.

Les anciens dieux avaient disparu de la mémoire des Grecs, et l’Eglise Orthodoxe grecque était la force dans laquelle les Grecs mettaient leurs espoirs. Ils vivaient le rêve de Byzance. Tous les Grecs orthodoxes devaient être libérés. Et ainsi, les Grecs du XVIIIe siècle considéraient comme parfaitement naturel que le tsar Pierre de Russie, un autre chrétien orthodoxe, soit leur libérateur. Les Grecs ne peuvent pas être blâmés pour ne pas se considérer comme des Grecs homériques mais comme des Grecs orthodoxes, parce qu’ils avaient vécu 1.700 ans au cœur du monde chrétien et de la conscience chrétienne. Ils étaient donc stupéfaits de voir d’autres Européens venir dans leur pays pour déterrer de vieilles cités et regarder des temples et des tombes antiques.

UN CAPTIF D’HOMERE

A cette époque, un apprenti commerçant nommé Schliemann vivait dans la petite ville allemande de Mecklenburg. Ce fils bohémien des Muses récitait souvent des vers grecs, dont les sonorités énigmatiques enchantaient le garçon. Il décida d’apprendre le grec et de trouver assez d’argent pour aller en Grèce et rendre visite aux héros de Homère.

Le garçon resta fidèle à ses intentions. En Amérique il gagna une fortune, puis quitta les affaires et arriva, entre les mains de son Homère admiré, sur le sol historique de la Grèce. Avec une vision prophétique et guidé par son illusion, il pointa le doigt vers un endroit dans le sol stérile, près de la mer, et dit : « C’est là que les héros troyens combattirent ». N’ayant absolument aucune idée de l’archéologie, il commença son travail avec des ouvriers dévoués et finalement découvrit non seulement Troie, mais aussi les bijoux d’or d’Hélène de Troie. Ensuite il se rendit à Mycènes et il mit à jour les vraies tombes avec des masques d’or, leurs pierres précieuses et leurs trésors d’une inconcevable richesse. Avec ses propres ressources, il construisit à Athènes une galerie pour ces trésors et les donna aux Grecs. Passionné par ces travaux, déterrant et découvrant toujours de nouvelles merveilles, il vécut en Grèce jusqu’à son dernier jour.

LA GRECE ET LA POLITIQUE MONDIALE

En 1828 la Guerre d’Indépendance était finie, une guerre dans laquelle les Grecs purent compter sur l’aide de la jeunesse idéaliste d’Europe, mais dès qu’ils obtinrent quelque appui de la part des grandes puissances, ils leur firent confiance. Les rebelles grecs, ces Grecs chez qui la flamme de la liberté s’était si vite rallumée, avaient oublié ce qu’était la grande politique ! Ils l’avaient eux-mêmes initiée au temps de leurs ancêtres, au temps des Grecs de l’Antiquité, qui avaient conquis les Dardanelles et les bords de l’Afrique et occupé les îles de Chypre et de Crète. Alexandre le Grand était entré en Inde et conquis l’Egypte. Depuis ce temps de nombreux siècles avaient passé et la Grèce était tombée sous la domination turque. Alors l’Angleterre commença à faire de la politique mondiale. Elle étendit ses tentacules jusqu’à l’Egypte et l’Inde et s’assura fermement les Dardanelles, pour que la route des Indes ne soit pas menacée ; de la même façon, elle occupa l’Egypte quand le canal de Suez devint un risque pour sa route vers les Indes. Une Grèce forte, en possession des Dardanelles, aurait alors été aussi dangereuse qu’une Turquie puissante pour la politique mondiale de l’Angleterre.

Mais cela n’aurait pas pu être fait sans l’impétueuse soif grecque de liberté nationale, et pour cette raison l’Angleterre, la France et la Russie garantirent l’existence d’un petit Etat grec. A première vue, cette garantie semblait solide, mais elle eut plus tard des répercussions fatales pour la Grèce, qui par deux fois fut obligée d’entrer en guerre contre l’Allemagne et ses alliés. Dans les deux cas, la Grande-Bretagne pressa la Grèce d’attaquer le flanc allemand à partir de Salonique. Dans les deux cas, les Grecs furent entraînés à trahir leur véritable inclination qui leur interdisait d’entreprendre des hostilités contre l’Allemagne, aveuglés par des promesses trompeuses de compensations. Après la Première Guerre Mondiale la Grèce reçut des territoires aux dépens des alliés de l’Allemagne, ce qui fit croire aux Grecs qu’ils étaient devenus une grande puissance et les poussa à prendre les armes contre la Turquie. Ils croyaient les Turcs définitivement affaiblis par la Première Guerre Mondiale, mais leur calcul était erroné. Les Grecs furent repoussés avec une énorme force et la Grèce perdit plus qu’elle n’avait gagné précédemment. Ses alliés de la Première Guerre Mondiale la laissèrent seule pendant son combat. L’Angleterre n’avait aucun intérêt à ce que la Grèce devienne le possesseur définitif des Dardanelles. Ce cruel revers, dont les conséquences furent qu’un million et demi de Grecs, réduits à la misère, durent quitter la Turquie, mit fin au vieux rêve byzantin.

UNE SECONDE SALONIQUE ?

En 1940-41, quand les Anglais voulurent utiliser la tactique de Salonique une seconde fois, le roi grec conçut à nouveau le vieux rêve byzantin et s’y cramponna. La partie est terminée maintenant, et les Anglais sont installés en Crète dans le but de la transformer, comme Chypre, en une possession britannique. Les Grecs auraient pu facilement déduire de l’histoire de leur patrie la leçon la plus appropriée : « Connais-toi toi-même ! ». L’Allemagne a toujours aidé les Grecs à obtenir cette connaissance d’eux-mêmes.

Le chemin des Allemands est très similaire à celui des Grecs. Tout comme la Grèce antique était divisée en de nombreux petits Etats, les Allemands aussi manquaient d’unité. La Grèce conçut jadis une idée nationale unifiante ; ce fut l’idéal d’Olympie. Tous les quatre ans, les meilleurs parmi les Grecs se rencontraient à Olympie. L’idée unifiante chez les Allemands fut l’idée que leur Empire était Saint. Quand les 26 petits Etats allemands furent à nouveau réunis en une sainte Allemagne, l’empereur Guillaume 1er donna aux Grecs le signal et les moyens d’un énorme travail. Il ordonna à l’archéologue allemand Curtius de mener les travaux de fouille à Olympie. Quand cela fut fait, la science archéologique allemande put être fière d’avoir obtenu des résultats magnifiques en Grèce.

Après avoir gagné leur combat pour la liberté, les Grecs choisirent comme roi le prince Otto de Bavière, fils de Louis, le monarque philo-hellène. Otto fut évidemment accompagné en Grèce par de nombreux Allemands, dont des scientifiques. Ce n’est pas notre intention d’accuser les Grecs, 40 ans plus tard, d’avoir considéré comme oppressive la prédominance des Allemands dans la bureaucratie ; en fait ils avaient raison. Ici nous parlons d’archéologie seulement. Cependant, on peut dire incidemment que le grand architecte allemand Klenze fut le créateur du projet de construction d’Athènes, qui n’était rien de plus qu’un village quand la Guerre d’Indépendance grecque se termina. Ce sont les Allemands aussi qui introduisirent pour la première fois dans le Péloponnèse la culture de la vigne et restituèrent ainsi au pays de Dionysos son ancien caractère.

LE TEMPLE DE NIKA RENAIT

L’archéologue allemand Ludwig Ross fut nommé chef du Service des Etudes Antiques en Grèce par le roi Otto. Ross avait déjà ordonné en 1835 la démolition d’un mur construit en 1687 par les Turcs avec des pierres prises sur l’ancien temple de Nika, la déesse grecque de la victoire. Ross le reconstruisit avec ces pierres à l’endroit d’origine et le grand temple salue aujourd’hui les voyageurs comme il le faisait dans l’Antiquité. Le livre que Ross écrivit sur la Grèce compte parmi les travaux classiques de l’archéologie.

D’une manière similaire, Ross passa le reste de sa vie en Grèce. Son plus grand travail fut l’exhumation d’Olympie, la scène des plus fameuses célébrations de l’ancienne Hellade. Cet effort fut purement allemand. Il avait déjà été envisagé au XVIIIe siècle par Winckelmann, le fondateur de la nouvelle esthétique. Finalement, cela devint un fait en 1875. Les travaux de fouille durèrent de 1875 à 1880. La statue d’Hermès par Praxitèle apparut pendant ces travaux avec une pureté aveuglante.

Les fouilles à Olympie devinrent l’école pratique supérieure de l’archéologie moderne. Les noms de Wilhelm Dörpfeld et Adolf Furtwängler – père du célèbre chef d’orchestre allemand – sont éternellement liés à Olympie. Avant le début des fouilles, l’Allemagne conclut avec le gouvernement grec un accord selon lequel les découvertes d’Olympie devraient rester en Grèce. L’Allemagne est toujours restée fidèle à sa parole.

Elles sont conservées dans un musée qui reçoit des milliers de visiteurs chaque année. Les fameuses portes du temple de Zeus et tant d’autres merveilles ont instillé à nouveau dans la jeunesse du monde l’enthousiasme pour la beauté du corps humain. Ce sont les étincelles qui ont allumé le nouvel idéal olympique. Après les célèbres Jeux Olympiques de 1936 à Berlin, le Führer donna l’ordre de reprendre les fouilles à Olympie. Il fournit lui-même les moyens. La direction de ces travaux est confiée à l’Institut Archéologique Allemand d’Athènes, qui existe depuis 1874. Les nouvelles fouilles ont commencé dans le stade, dont les murs ont été localisés. Mais des travaux ont déjà commencé dans d’autres lieux, allant jusqu’aux confins d’Altis. Le sol s’est révélé plus productif que prévu. De nouvelles procédures de conservation ont permis d’extraire intacts plusieurs bronzes avec des reliefs ciselés, datant des VIIe et VIe siècles avant J.C.

L’ARCHEOLOGIE N’EST PAS UNE SCIENCE MORTE !

Durant la campagne de 1941, les archéologues allemands sont restés fermement à leur poste. A mesure que le temps passe, la conscience des Grecs grandit, la conscience de ce que les Grecs doivent aux hommes admirables qui ont sortis de la terre ces témoignages du passé, poussés seulement par un esprit désintéressé d’exploration. Nous avons pu vérifier que notre vieux pressentiment, que nous Allemands sommes spécialement liés aux Grecs dans l’ordre spirituel, est vrai. Les découvertes de l’Antiquité nous ont prouvé qu’elles sont en accord avec les faits sur le sol. Le style architectonique des Grecs et des Allemands est le même et des coïncidences surprenantes ont aussi été notées, même dans les détails les plus subtils.

Par conséquent, l’archéologie n’est pas une science morte ; elle a affiné notre vision des particularités de la famille commune des peuples européens ; elle nous a conduit à fouler à nouveau les chemins qui ont fait de l’Europe la porteuse de lumière opposée aux puissances des ténèbres. La leçon d’Olympie est, pour nous, celle-ci : « Connais-toi toi-même et devient suffisamment fort pour que tu puisse compter seulement sur toi-même et sur tes propres forces ». Cette leçon d’Olympie a conduit les Allemands vers la Renaissance et vers l’approfondissement de notre propre force nationale, une force dont l’ambition est de faire épanouir notre nation sans aucune aide étrangère.

POURQUOI LES GRECS NAVIGUENT-ILS ?

Pendant longtemps, la Grèce dut suivre d’autres voies que la sienne. Quand les Grecs se libérèrent du joug de la domination étrangère, ils trouvèrent dans leur pays des problèmes identiques à ceux de l’Antiquité. La Grèce est un pays montagneux et pauvre avec peu de forêts. Les produits les plus nécessaires, les céréales, peuvent difficilement pousser ici. La Thessalie était jadis le grenier de l’Antiquité, mais sous la domination turque, quand le pays ne pouvait pas recevoir des produits venant d’autres régions pour transformer les céréales en pain, elle se consacra à la culture du tabac. La Grèce libre, par conséquent, était un pays sans production céréalière suffisante. Dans l’Antiquité, l’agriculture était très difficile en Grèce parce qu’il n’y avait pas assez de fer pour faire des charrues ; quand Alexander le Grand marcha vers l’Inde, il était le seul homme dans son armée à porter un casque d’acier. L’acier valait alors aussi cher que l’or.

Cette difficulté obligea les anciens Grecs à acquérir des céréales venant de régions plus fertiles. C’est la vraie raison pour laquelle ils visitaient les pays étrangers et pratiquaient le commerce. Leurs talents innés de navigateurs et leur instinct mathématique les aidèrent dans cette aventure. Après la libération grecque au XIXe siècle, la Grèce développa l’agronomie intensive. Durant ce siècle il y avait du fer à profusion et pour une fois la Grèce était sur le point de devenir le pays agricole le plus moderne du monde. Cela avait été une évolution naturelle parce que – tout comme aujourd’hui – plus de 60% des Grecs étaient des fermiers et parce que les gens vivaient pour la plupart dans la campagne.

Durant l’ère de la grande croissance industrielle et capitaliste, cette idée ne parvint pas en Grèce. L’Angleterre et la France, les protectrices de la Grèce, ne purent pas instiller cette pensée et elles se contentèrent de prêter de l’argent ; avec des intérêts abusifs, naturellement, et ainsi il arriva ce qui devait arriver : le pauvre pays s’effondra finalement à la fin du siècle dernier sous le poids de ses dettes et dut se déclarer en faillite. Le fait que les Grecs aient constamment tenté de se débarrasser de leurs dettes constitue une indication de leur ténacité et de leur énergie. Comme son économie agraire n’était pas suffisante, la Grèce moderne dut avoir recours à la même ressource que les Anciens : la navigation. Les navigateurs grecs sont aujourd’hui connus sur toutes les mers. Ils ont les mêmes aptitudes que leurs ancêtres, mais comme ils sont les plus pauvres de tous les marins, ils ont aussi les plus mauvais bateaux du monde.

QUE VA-T-IL SE PASSER ?

Ainsi, la Grèce aussi vit aujourd’hui dans une situation précaire et est un pays pauvre, affecté par des préoccupations constantes. Le miracle national de la Grèce est que cette nécessité n’a jamais poussé les Grecs à renoncer à leurs vertus. Aujourd’hui les Grecs sont aussi hospitaliers, nobles et vaillants que dans l’Antiquité. Ces vertus indiquent en effet que la conscience nationale grecque acquérra de plus en plus d’intensité. La Grèce ne peut compter que sur elle-même. A quoi ont servi les routes construites par les capitalistes étrangers en Grèce ? Elles avaient un aspect superbe au début, mais elles ont déjà disparu ; cela constitue un symbole de beaucoup d’autres choses.

Pour nous Allemands, la bonne réputation que le travail allemand a en Grèce constitue un honneur. Le nouveau métro d’Athènes et le réseau téléphonique moderne sont deux de ces travaux. La Grèce fait d’importantes transactions commerciales avec l’Allemagne. Nous sommes les plus grands acheteurs de tabac grec et les Grecs nous achètent des médicaments et des machines. Ils nous envoient du tabac, des raisins de Corinthe et de l’huile d’olive, et pourraient nous donner plus si leur agronomie s’améliorait. La condition préalable à cela est l’organisation des voies de communications, la reforestation et l’amélioration de l’économie hydraulique. Le Reich peut aider la Grèce dans ces tâches en lui fournissant des machines et des ingénieurs, mais le travail doit être fait par les Grecs eux-mêmes avec leurs propres forces.

(publié dans « Signal » N° 12, 1941)



LA GRECE DANS LE TROISIEME REICH

La Grèce fit partie du Troisième Reich entre 1941 et 1944. Les Allemands hissèrent le drapeau à svastika sur la colline de l’Acropole le 27 avril 1941, marquant le début de quatre des plus glorieuses années de l’histoire grecque moderne.

L’armée grecque reconnut sa défaite par le général George Tsolakoglou au printemps 1941, et un nouveau gouvernement pronazi fut immédiatement constitué. Le gouvernement fantoche grec hérita de la plus grande partie de l’infrastructure du précédent gouvernement de Metaxas. Comme dans toutes les autres nations occupées par l’Allemagne, le principal but du gouvernement fantoche fut d’assurer l’ordre politique et militaire intérieur dans le pays jusqu’à la fin de la guerre.

Tsolakoglou lui-même devint Premier Ministre du premier cabinet. Après quelque temps Tsolakoglou fut remplacé par un fervent admirateur du national-socialisme, le docteur Konstantinos Logothetopoulos. Par cette mesure Hitler espérait que Logothetopoulos augmente l’aide des Grecs aux forces de l’Axe, ce que les Grecs pouvaient difficilement faire. Logothetopoulos fut plus tard remplacé par Ioannis Rallis, l’ancien dirigeant du parti conservateur Laïko Komma (Parti Populaire), qui gouverna le pays jusqu’à la fin de la guerre. Après le retrait allemand, Rallis fut arrêté et condamné à la prison à vie. Il mourut en prison en 1946.

COLLABORATIONNISME GREC

De nombreux soldats de l’armée grecque furent appelés à devenir des collaborateurs des forces d’occupation pour aider les Allemands dans tout le pays. Environ 34 ou 35.000 collaborateurs grecs constituèrent diverses unités pour aider les Allemands. Les unités concernées incluent les chemises noires, les régiments grecs Evzone, les gendarmes, les bataillons de la milice grecque et les bataillons grecs de sécurité.

Parmi les unités collaborationnistes, l’une des plus remarquables étaient les « Skutari » de l’île de Crète et en particulier le fameux « Poulos Verband ». Le Poulos Verband faisait techniquement partie de l’Ordnungspolizei (Police d’Ordre) allemande, et fut constituée et commandée par l’officier grec Georges Poulos. Ce groupe était distinct des régiments Evzone, de la gendarmerie volontaire, des bataillons de la milice et des bataillons de sécurité parce qu’à la différence de ces autres unités grecques, ils combattaient pour le Troisième Reich plutôt que de combattre simplement la résistance et les communistes. Le Poulos Verband entra même en action en-dehors de la Grèce, en Slovénie, où il combattit les partisans slovènes de novembre 1944 à mars 1945. Après avoir combattu en Slovénie, le Poulos Verband fut envoyé en Autriche où un « Comité National Grec » avait été formé. Là, l’unité assura la garde de divers collaborateurs grecs et serbes. Entre autres personnalités, le Poulos Verband assura la garde de Sa Sainteté Gavrilo, Patriarche de l’Eglise Orthodoxe serbe, et de Milan Nedic, Premier Ministre serbe.

Parmi les forces collaborationnistes se trouvaient aussi des conservateurs non-nazis ; la plupart d’entre eux rejoignirent les bataillons de sécurité parce qu’ils pensaient que la véritable menace pour la Grèce venait du marxisme et de la guérilla communiste (EAM-ELAS) et que l’occupation allemande n’était qu’une infortune temporaire. La guérilla communiste (« Andartiko ») non seulement s’attaqua aux forces collaborationnistes, mais commit aussi de grandes atrocités contre les civils grecs. Cela explique que certains Grecs rejoignirent les bataillons de sécurité non pas à cause de convictions nationale-socialistes, mais parce qu’ils voyaient dans le communisme le plus grand problème du pays.

LES WAFFEN SS GRECS

Pendant toutes les années de l’occupation, le docteur Sterodimos (l’un des plus fidèles collaborateurs de haut rang et également chef de l’ESPO, l’Organisation Politique Nationale Socialiste) recruta d’anciens officiers et soldats d’extrême-droite pour créer une légion grecque de la Waffen SS, qui ne vit jamais le jour. Cependant, cela n’empêcha pas quelque 1.000 Grecs de Grèce (« helladiques ») de s’engager comme volontaires dans la Waffen SS. En plus de cette contribution, plus de 3.000 Grecs pontiques (Grecs de la Mer Noire) rejoignirent la 14ème division de la SS paneuropéenne. Le nombre de 1.000 engagés dans la Waffen SS peut sembler modeste, mais ce n’est pas le cas. Par exemple, seulement 500 volontaires [1] vinrent de l’Espagne bien plus peuplée, seulement 100 de la Grande-Bretagne, et environ 750 de Suède. En tous cas, tous ces pays étaient largement dépassés par les 50.000 Hollandais, les 40.000 Hongrois, les 25.000 Lettons et les 10.000 Français qui rejoignirent l’Armée Européenne du Reich. A gauche, Kostas Oikonomidis, l’un des volontaires grecs de la Waffen SS. Il devait périr plus tard en combattant l’Andartiko (la résistance grecque).

[1] Ce chiffre n’inclut pas les milliers de volontaires de la division « Azul » qui combattit aux cotés des Allemands sur le Front de l’Est de 1941 à 1943. (NDT)


LES GRECS DANS LA HIERARCHIE NAZIE ALLEMANDE

Il y avait aussi des Grecs ou des Allemands d’origine grecque dans les rangs du système politique nazi allemand et dans l’armée.


Politiquement, le plus célèbre était Rudolf Hess. Hess était en partie grec puisque sa mère était grecque ; Hess était né à Alexandrie en Egypte, où il y a toujours eu une communauté grecque active et riche. Le second prénom de Rudolf Hess était Georgiadis.

Parmi les militaires, le plus fameux était Wilhelm Kanaris. Kanaris devint chef de l’Abwehr le 1er janvier 1935, et le dirigea pendant toute la Seconde Guerre mondiale. Il était partiellement grec, étant le petit-fils de Constantin Kanaris, amiral grec, combattant de la liberté et ancien Premier Ministre.

Sevastianos Foulidis était aussi un officier de la Wehrmacht. Il était le principal espion de Hitler en Grèce. Il fournit aux Allemands des informations vitales sur la guerre dans la région sud des Balkans. Foulidis était officiellement major dans l’armée allemande.

REFERENCES

- Nikolas D. Christodoulou, Pro-Axis Security Battalions in Southern Greece, 1943-1944.
- Antonio J. Muñoz, Herakles and the Swastika: Greek Volunteers in the German Army, Police and SS. Axis Europa Books 2001.
- Andrikopoulos, Die Würzeln des griechischen Faschismus.
- Nikoloudis, Th.: Der Neue Staat, Sept. 1937
- Konstantinos Plevris, Ioannis Metaxas (Biography), Nea Thesis, 1996
- Jon V. Kofas, Autoritharism in Greece: the Metaxas years, Boulder, 1983
- Harry Kliadakis, Metaxas regime and the Second World War, Revue d´Histoire de la Deuxième Guerre Mondiale, 1977
- Mavrokordatis, Hanno, Le fascisme en Grèce pendant la guerre (1941-1944)

Source : http://raknagar.blogspot.com/2007/10/les-liens-entre-lallemagne-national.html

samedi 6 novembre 2010

Dienekes' ADMIXTURE dodecad



Source : http://dodecad.blogspot.com/2010/11/admixture-analysis-with-dodecad.html

Les Grecs sont différents des Chyrpiotes, Turcs, Arméniens, Syriens, Jordaniens, Egyptiens, Ashkénazes, Sépharades.

Ceux dont ils se rapprochent le plus sont les Toscans ou les Italiens du sud.

samedi 30 octobre 2010

Distances génétiques Polako




Voici encore une étude qui confirme que la distance génétique entre Grecs et Turcs est tout bonnement énorme alors qu'ils sont géographiquement très proches.

Les Grecs sont très proches des Toscans (ce qui confirme l'étude précédente de Chao Tian) alors que la Toscane est dix fois plus éloignée de la Grèce que ne l'est la Turquie.

Les Grecs sont aussi distants des Français qu'ils ne le sont des Turcs, alors que la France est à cents lieux de la mer égée.

Même constatation que dans l'étude de Nature :

Portugais et Espagnols s'entremêlent, sont donc génétiquement les mêmes et leur distance géographique est infime.

Tandis que :

Grecs et Turcs ne s'entremêlent pas, ne sont pas génétiquement les mêmes alors que leur distance géographique est infime.



Ici, nous constatons :

Les Turcs sont plus proches des Iraniens qu'ils ne le sont des Grecs et s'entremêlent parfois avec eux (mélange avec les Perses).

Les Grecs sont quasiment deux fois plus proches des Français que des Palestiniens.

Grecs et Cypriotes ne sont pas les mêmes (mélange avec les Phéniciens)

Source : http://bga101.blogspot.com/

vendredi 23 juillet 2010

vendredi 2 juillet 2010

Distances génétiques Chao Tian




http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2730349/table/t1-09_94_tian/

Distances génétiques :

Toscan-Grec : 0.0005
Toscan-Italien : 0.0004
Grec-Allemand : 0.0039
Grec-Espagnol : 0.0035
Allemand-Russe : 0.0037
Espagnol-Allemand : 0.0015

La première constatation qui frappe est la distance génétique quasi inexistante entre le Toscan et le Grec. Ce qui n'est absolument pas étonnant quand on a un minimum de culture historique.
La Toscane est une région économiquement forte de l'Italie. Les Judéo-libéraux de la Léga Nord "nationalistes indépendantistes de la Padania" veulent la rattacher à la "Padanie" (alors que cette région n'a absolument rien à voir avec la "Padanie"). Un bon poing dans la gueule de ceux qui pensent que les Grecs ont un retard économique à cause de leur "mélange racial".

Encore une fois, Iskender prends les extrêmes comme exemples (Scandinaves/Russes-Grecs).
Comment expliquer qu'un Grec soit 1,5 plus proche génétiquement d'un Allemand (0.0039) que d'un Palestinien (0.0057), d'un Bédouin (0.0064) ?

Cet étude a été faite entre extrêmes.
Les Grecs sont intermédiaires entre L'extrême Nord et l'extrême Sud. Combien de Km distance la Grèce du Proche-orient ? Beaucoup moins de km qu'entre l'Allemagne et la Grèce... Et pourtant, les Grecs sont plus proches génétiquement des Allemands que des Palestiniens...

Anthropologiquement, Les Espagnols et Sardes sont beaucoup plus méditerranéens que les Grecs/Italiens qui ont des types Dinariques et Alpins en plus grosse quantité (environ la moitié de leurs populations) et pourtant, selon cet étude, ils seraient génétiquement plus distants des Bédouins et Palestiniens alors que les types Alpins/Dinariques sont des types caucasoïdes typiquement d'Europe centrale.

Comment expliquer qu'un Russe est distant de 0.0037 d'un Allemand alors que l'Allemand est distant de 0.0039 d'un Grec quand on sait qu'un Grec est distant de 0.0108 d'un Russe ?
Un Grec devrait être bien plus distant d'un Allemand si ces études étaient logiques dans la nordicité et pourtant ce n'est pas le cas. Peut-être que l'européanité est mieux représentée par les Grecs que par les Russes.

Prenons le cas des "Orcadians" (Ecossais, descendants de Vikings) ils sont génétiquement plus éloignés des Allemands (0.0048) que des Grecs avec les Allemands
(0.0039). Sans doute à cause du nombre d'Alpins en Allemagne.

Comme Les Haplogroupes J1/J2 sont originaires du proche-orient, il serait la preuve de "mélanges non-blancs" ou de "peuplement proche-oriental durant le néolithique" de l'Europe du Sud-Est (Italie et Grèce).

Les Nordicistes (ou les Sudistes) qui tiennent ces arguments oublient de dire qu'aucun grand haplogroupe européen n'a pour origine l'Europe, excepté l'haplogroupe I1 (haplogroupe nordique) qui est partagé par 40 % des Scandinaves. Si l'on considère que les autres haplogroupes sont non-européens du fait qu'ils n'ont pas émergés en Europe, cela fait 60% de Scandinaves non-européens et 95% de Français non-européens.

Ils omettent aussi fallacieusement la chronologie des Haplogroupes
L'haplogroupe R a émergé en Asie Centrale ou au Sud-Ouest de l'Asie il y'a 70000 ans.
L'haplogroupe J a émergé au Proche-orient ou dans le Caucase il y a 45000 ans.

L'haplogroupe R1b (l'haplogroupe le plus partagé par les occidentaux) a émergé en Asie Centrale il y 'a 20000 ans. Les Français sont donc Asiatiques ?

Ils omettent aussi les sous-divisions d'haplogroupes et les mutations. L'expression des gênes évolue à travers le temps et plus il est long, plus le phénotype résultant ne ressemble en rien aux populations antérieures appartenant à l'haplogroupe parent. Ils faut aussi prendre en compte le facteur de l'environnement naturel de cet expression.
La colonisation proche-oriental du néolithique. C'était il y a 10000 ans et cela contredit justement toutes les théories nordicistes vu que ce serait donc l'haplogroupe auquel descendent Périclès et les Spartiates étant donné qu'il est apparu en Grèce avant la civilisation Hellène. L'haplogroupe J s'est divisé en deux : J1 pour les Arabes, Orientaux et J2 pour les Sud-Européens.
Deuxièment la colonisation proche-oriental du néolithique (diffusion de l'Agriculture aux chasseurs-cueilleurs), cela concerne tous les européens et pas seulement ceux du Sud.
Les Tchèques ont 20% de J dans leurs gênes, cela ne signfie pas que 20% d'entre eux sont "Arabes" ou que leur phénotype est "arabe". L'haplogroupe J est un haplogroupe proto-sémitique donc avant les peuples modernes sémites que l'on appelle les Arabes/Orientaux.
Cela contredit les théories Sudistes aussi(Les Grecs sont proches des Arabes) car les gênes se mutent, se divisent, se transforment et le phénotype résultant est différent. J2b a pour origine l'Anatolie ou la Grèce. La méditerranée a joué un rôle de barrière naturelle et cela se ressent dans cette division.
L'haplogroupe J1 (sémite) est inexistant chez tous les peuples européens exceptés en Sicile et en Italie du Sud dans des proportions très faibles.
Les Siciliens par exemple, sont un mélange de Normands, Grecs, Romains, Phéniciens et Nord-Africains. Selon European Journal of Human Genetics , ils ont tracé la descendance des Siciliens par la génétique. Résultat : 37% Grecs et 6% Nord-Africains. Le mélange des Siciliens avec les Arabes n'est un mystère pour personne mais il a été volontairement exagéré pour des raisons politiques.

Source :

Avec cette mentalité débile, nous serions tous des Africains étant donné que les haplogroupes du chromosome Y est le parent de CT et F qui sont les parents de tous les autres haplogroupes et ont pour origine L'Afrique.

Les distances génétiques montrent que les Européens sont très proches les uns des autres mais elles montrent aussi que chaque nation européenne a plus ou moins sa spécificité génétique. Les Grecs ne veulent pas être considérés comme des "Européens ordinaires". Nous laissons cela aux Nationalistes Autrichiens Judéo-libéraux du FPO. Nous sommes la balise du Sud-Est de l'Europe et nous en sommes fiers, nous aimons ce que nous sommes et ce que nous avons fait pour l'humanité et ce que nous faisions pour l'Europe quand nous partions au combat pour aider nos frères Serbes quand les Ogzidentaux soutenaient son bombardement.
L'église Orthodoxe a toujours joué son rôle de préservation des Grecs. Quand un Turc enlève un enfant Grec, sa famille le rejettera comme Turc. Ainsi que les Grecs qui se sont turcisés on été considérés comme des parias de la pire espèce.
Les mélanges ? Pour les Turcs, très certainement vu que seulement 25% d'entre eux descendent de leurs aïeux d'Asie Centrale.
400 ans d'occupation ottomane ? C'est 400 ans d'exacerbation de notre identité, d'affirmation de notre nationalisme et de notre orthodoxie.
On en a plus que marre de tous ces mensonges sur notre peuple.

Sources : http://racialreality.110mb.com/neolithic.html
http://www.eupedia.com/europe/origins_haplogroups_europe.shtml#J

jeudi 1 juillet 2010

"Cherry picking"

Cherry picking is the act of pointing at individual cases or data that seem to confirm a particular position, while ignoring a significant portion of related cases or data that may contradict that position.

The term is based on the perceived process of harvesting fruit, such as cherries. The picker would be expected to only select the ripest and healthiest fruits. An observer who only sees the selected fruit may thus wrongly conclude that most, or even all, of the fruit is in such good condition.

Cherry picking can be found in many logical fallacies. For example, the "fallacy of anecdotal evidence" tends to overlook large amounts of data in favor of that known personally, while a false dichotomy picks only two options when more are available.

Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Cherry_picking


C'est exactement ce que font les délateurs anti-grecs comme les Turcs, Nordicistes, Monkeydonians et autres Albanais qui, en sélectionnant des photos de "Grecs" ou de Chypriotes Grecs (que je considère Hellènes malgré qu'ils ne sont pas entièrement Grecs) nous présentent ce physique comme étant la norme grecque.

La réalité est que "le physique Pete Sampras" très typé est plutôt minoritaire. Par là, je veux dire que les Grecs de Grèce ne sont pas aussi foncés. Par expérience personnelle, je dirais qu'entre 15-20 % de Grecs sont "very dark", le reste a une peau blanche ou légèrement brune-blanche. 50% ont une peau rose blanche, 50 % ont une peau brune-blanche (cf. Coon). Et je pense que cela reflète bien les Grecs dans leur ensemble.

C'est d'ailleurs cette carnation brune-blanche qui était préférée par les Grecs Anciens :

[HAIR]-- Polemon, Physiognomonica, 8.11

"hê de xanthê kai hupoleukos, hopoia Skuthôn, skaiotêta dêloi êgoun kakotêta kai agriotêta"

Blond and whitish hair, like that of Scythians, signifies stupidity, evilness, and savageness

Les cheveux blonds et blanchâtres, comme ceux des Scythes, signifient la stupidité, la malignité et la sauvagerie

[SKIN] Ibid., 6.9

"Dêlon apo tôn prolegomenôn sêmeiôn, hê melaina chroia deilian kai polumêchanian, hê de xanthê
kai leukê dunamin kai thumon legei. to de panu leukon akraton anandrian sêmainei"

It is obvious from the aforementioned signs, that dark hue signifies cowardice and craftiness, yellow and white, strength and spiritedness. Very white signifies unmanliness.

"Il est évident, d'après les signes susmentionnés, que le teint sombre signifie la lâcheté et la roublardise. Le teint très clair est efféminé. La teinte au milieu signifie le civisme et la force"

[SKIN] -- Aritotles et Corpus Aristotelicum, Physiognomonica, 812a, 13

"Hoi agan melanes deiloi: anapheretai epi tous Ai-
guptious, Aithiopas. hoi de leukoi agan deiloi: anapheretai epi tas gunaikas"

Very dark men are cowards: it is said of Egyptians and Ethiopians. White men are cowards: it is said of women.

"Les hommes à la peau très foncée sont des couards; c'est le cas des égyptiens et des éthiopiens. Il en va de même de ceux qui sont très blancs, comme les femmes."

[EYES] Ibid., 812b, 4

"hois de hoi ophthalmoi glaukoi ê leukoi, deiloi"

Those whose eyes are blue-gray or light are cowards.

"Ceux qui ont les yeux bleu ou clairs sont des couards."

[HAIR] Adamantius, Physiognomica, II, 37.10

"hê de agan xanthê kai hupoleukos, hopoia Skuthôn kai Keltôn, amathian kai skaiotêta kai agriotêta"

Very blond and whitish hair, like that of Scythians and Celts, [signifies] ignorance, dimness and savageness

"Les cheveux très blonds et roux, comme les Scythes et les Celtes, sont des signes de crétinité, d'ignorance et de sauvagerie"



Pourquoi les Nordicistes tiennent tellement à s'approprier notre histoire si leurs anciens peuples n'ont rien à nous envier ?

Si les Grecs avaient été des Nordiques, alors pourquoi n'ont-ils pas créé le Parthénon à Copenhague ?

Si les Grecs/Romains avaient été physiquement les même que les nord-européens alors pourquoi méprisaient ils les peuples du nord de l'Europe dans bon nombre de leurs écrits ?

La réalité c'est que les Grecs et les Romains étaient de loin supérieurs aux Barbares du nord de l'Europe et comme ils ne veulent pas l'admettre, ils nous volent notre histoire.

LE PHYSIQUE GREC :

samedi 19 juin 2010

La Turquie, une nation artificielle

L'hétérogénéité des Turcs :

Selon igenea, 30% des Turcs descendent des vrais Turcs (Oghuz) originaires d'Asie Centrale et de race caucaso-mongoloïde, 70% des Turcs sont les populations pré-turques vivant en Asie Mineure (Phrygiens, Lydiens, Grecs,...) avec un mélange relatif avec les Slaves, Arabes et un mélange avec une tribu Celte s'étant établie en Anatolie.(Galates)

Selon Coon, 75 % des Turcs sont indigènes et 25% allogènes en Asie Mineure :

The determination of the physical type of the Osmanli and Seljuk Turks, through directional leads and the study of the Yürüks, furnish a reasonable explanation of the racial characters of the modern Anatolian Turks. If one places the contribution of the Turkish ancestors in Anatolia at about 25 per cent, and that of the previous inhabitants at about 75 per cent, the racial situation in that peninsula assumes a position in accordance with history. The indigenous 75 per cent is composed of a Cappadocian-Alpine blend, in which the latter element must have reëmerged in a manner similar to that which can be chronologically established in central Europe.

La Turquie, une nation artificielle :

Les Turcs ont eu besoin d'une identité forte pour obtenir une cohésion nationale de peuplades différentes. Les turcs sont des bâtards, une multitude de peuples. Leur fierté exacerbée vient de cette variété de peuples difficilement conciliables au sein d'une même nation. Turcisés par la force, convertis par l'épée ils se sentent Turcs plus que jamais car ils sont fasciné par la force Ottomane. Je m'explique, Les ancêtres des Turcs sont les Oghuz mongoloïdes ou caucaso-mongoloïdes et n'ont rien à voir avec l'Europe ou l'Asie Mineure. Ils sont allogènes et sont venu conquérir ces terres. Tandis que les population pré-turques sont indigènes et donc pour la plupart légitimes ethniquement. Comment concilier ces peuplades différentes ? Avec une identité forte. D'ailleurs, ils se disent tous descendants des ces tribus mongoles, des ces cavaliers lâches avec leurs arcs à flêches.
Pour être perçus comme un peuple à part entière, ils expriment une fierté exacerbée. Un peu comme le métis Noir/Blanc qui exprime une fierté raciale anormalement plus excessive qu'un Noir ou un Blanc non-mélangé.

En réalité, la Turquie est une nation artificielle et criminelle tout comme l'est Israël. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si les Juifs ont été accueillis dans l'Empire Ottoman et mieux traités que les autres sous la révolution Kémaliste. Beaucoup de Juifs ont aidés l'invasion Ottomane de l'Europe et même de nos jours quand Israël a vendu les terres chypriotes aux turcs avec le soutien britannique. Les Juifs haïssent les Chrétiens plus que tous les autres, particulièrement les Catholiques et Orthodoxes. Les Turcs, ces suceurs d'Américains ? Le NWO a toujours aidé la Turquie contre les identités chrétiennes d'Europe.
Qu'on ne vienne pas me dire maintenant qu'ils représentent une nouvelle force en pointe contre Israël quand on sait qu'ils sont copains comme cochons. La même merde se marie avec la même merde.


"Fort comme un Turc " ?

Grèce : 10 000 000
Turquie : 80 000 000
Le Turc est seul. Il serait facilement écrasable face à une coalition chrétienne-orthodoxe-européenne voilà pourquoi il sème la discorde dans le monde Blanc/Chrétien et injecte son fiel sur les Grecs ou les Serbes auprès des peuples occidentaux. Le Turc suce les USA, le NWO. Il pense que l'Islam a toute sa légitimité dans les Balkans.
Pourquoi les Grecs n'auraient-ils pas ce droit légitime de demander le soutien de ses frères d'Europe et d'Orthodoxie ? Parce ce que ce serait le cauchemar du Turc.

Le Turc est une race militaire qui ne s'attaque qu'aux peuples faibles ou affaiblis tout comme leurs cousins arabo-musulmans.
Une race militaire, c'est leur seul atout. Ils croient être uniques mais n'importe quel peuple au monde peut être éduqué de cette façon.

Le Turc est différent des Arabes. Il sait que militairement, les Arabes ne valent rien. Voilà pourquoi il place ses meilleurs unités aux frontières grecques au lieu de les mettre aux frontières iraniennes, irakiennes ou syriennes. Il sait que les Grecs ne sont pas des Bisounours. Quand il se prend une raclée, il se retranche dans son trou en préparant la riposte.
Le Turc croit être fort mais comment se fait-il qu'un peuple de 10 Millions d'âme arrive à les bouter à plusieurs reprises ?
Imaginez 80 millions de Grecs contre 80 millions de Turcs, je vous laisse deviner dans quel camp se trouverait la victoire en sachant que le matériel militaire grec est 50 ans plus moderne que le matériel turc. La quantité ne fait pas la qualité,
la bataille des Thermopyles est toujours d'actualité.
En supposant une Grèce fasciste et une Turquie néo-ottomane une invasion par la Turquie sur la petite Grèce, pensez- vous que leur victoire serait assurée ?

Je connais bien mon peuple, il ne s'est jamais laissé marcher dessus. Contrairement aux Arméniens et aux Juifs, il se fout bien que les Turcs doivent se repentir ou non de leurs crimes. Tout ce qu'il souhaite, c'est une revanche.
Dans cette optique, je dis aux Turcs de ne pas s'inquiéter : La race Hellène n'attaque pas les femmes, les vieux et les enfants.


Il dépense toute son énergie à manipuler l'opinion européenne. Il pourrait me rétorquer que les Grecs et les Serbes font de même en demandant le soutien aux nationalistes occidentaux. Oui, sauf que les Grecs et les Serbes sont européens et chrétiens et qu'ils ont ce droit légitime envers ses frères d'Europe.
Tout comme le juif, le turc veut briser l'unicité européenne en déversant son fiel sur les études anthropologiques ou génétiques

Qu'est-ce que la Turquie a fait pour l'Europe ? Ou plutôt, qu'est-ce que la Turquie a fait contre l'Europe ?

Quel pays européen est venu en aide aux Serbes ? Seuls des unités grecques sont venues leur donner un coup de main.


Voilà ce que sont les Turcs. Leurs ancêtres sont venus vers les verts pâturages de l'Asie Mineure convoitée pour y changer le nom des fruits cultivés par des Hellènes. Par la force, la conquête et la conversion, ils ont simplement pris une terre qui ne leur appartient pas.
Les Turcs Anatoliens sont à 100% illégitimes sur cette terre. Qu'ils ne viennent donc pas donner des leçons aux colons sionistes Israéliens quand ils ont fait la même conquête illégitime avec le même appui judéo-saxon. L'invasion de Chypre avec la bénédiction de la CIA et du MI6, leur territoires vendus par Israël et on a bien entendu les bombardiers américains sur la Serbie. Ils nous refusent de prendre en main le destin de nos peuples Orthodoxes et Européens quand ils l'autorisent ou l'appuient carrément pour les Turcs et autres Musulmans. Ils appuient en fait l'illégitimité ethno-civilisationnel sur une terre et on sait bien d'où vient cette mentalité...

jeudi 3 juin 2010

Pigmentation grecque et pigmentation turque

Les Hellènes ont une pigmentation plus claire que les Turco-mongoles :

Grecs :

" About half of them have brunet-white or light brown skin color, the rest the usual pinkish-white of central and northern Europe; over 80 per cent have dark brown hair, the rest have hair evenly divided between black and the lighter shades of brown. Pronounced blondism, although rare, is not unknown. The beard is rarely lighter than the head hair, in contrast to the condition found among Ghegs and Montenegrins; the implication is that the dark brown hair of the majority of Greeks is a pure brunet condition. Over 65 pa-cent of Greeks have pure brown eyes, and most of these are dark brown: pure lights are sporadic, but there is a 15 per cent incidence of light-mixed iris forms. "


Turcs :

The unexposed skin color of the Turks is mostly brunet-white or swarthy (von Luschan #11-16), the head hair color, in 90 per cent of cases, dark brown. Black hair, however, is found in less than 5 per cent, and blondism is rare. The ratio of dark brown hair is constant, except in the eastern provinces, where it is nearly 100 per cent. The beard hair is often lighter than the head hair; only 70 per cent are black or dark brown, while reddish shades are found among nearly 10 per cent. Reddish and blondish beards are by far commoner in the western and northern provinces than elsewhere, and are in these places found in one-third of the group observed.


Source : The Races of Europe, Carletoon Stevens Coon
http://carnby.altervista.org/troe/troe.htm

La moitié de la population grecque a la même pigmentation que les Européens du Centre et du Nord. L'autre moitié a une pigmentation brun-clair ou légèrement brune. Tandis que les Turcs sont pour la plupart bruns-clairs ou bruns-foncés.

mercredi 26 mai 2010

Le Turc l'ouvre encore

En réponse de : http://lefilsduloup.blogspot.com/2010/05/la-race-blancheeuropeenne-existe-t-elle.html

Explications de cartographie génétique de l'Europe publiée dans la Revue Nature :




Source : http://declinisme.blogspot.com/2008/09/les-europeens-appartiennent-la-meme.html


Photo d'étudiants grecs.
Petit conseil Iskender, la prochaine fois que tu essayes de montrer le physique d'un peuple, ne choisis pas des photos insidieusement sélectionnées mais une photo de plusieurs personnes regroupées.
Note : Des Grecs aux cheveux clairs, un délire absolu de Victor Hugo.





Il semblerait que notre historien et anthropologue en herbe fait encore des siennes. Les Européens ne sont donc pas de même race. C'est une mentalité turque, typique et similaire à la mentalité juive voulant à tout prix diviser les cousins européens en s'appuyant sur des études d'un certain Chao Tian.

La carte génétique de l’Europe publiée par la revue Nature en 2008 suggérait déjà qu’un Grec continental ou un Albanais seraient plus proches d’un Turc anatolien que d’un Chypriote grec. Cela aurait dû alerter.

Source : http://lefilsduloup.blogspot.com/2010/05/la-race-blancheeuropeenne-existe-t-elle.html

(Iskender Kortütruc)





Je le redis encore : Il est normal qu'un Grec continental soit plus proche d'un Turc anatolien (opinion volontairement exagérée par Kurtoğlu) que d'un Chypriote pour deux raison :

1) Les Chypriotes sont partiellement Grecs, les indigènes natifs de cette île étaient d'origine proches-oriental, auxquelles se sont greffés des Grecs résultant une certaine filiation génétique. Le tout a été hellénisé. Les nationalistes Grecs adeptes de l'enosis les voient comme des frères mais savent bien qu'il y a une certaine différence entre eux, ils ne les méprisent pas pour autant. Je ne sais pas dans quelle langue il faut te le dire : CYPRUS IS NOT HELLAS.

Tout en sachant qu'auparavant Iskender Kortütruc-machin a dédié un sujet la dessus en sélectionnant de façon insidieuse diverses photos de Grecs CHYPRIOTES, MICRASIATES, MELANGES AVEC ARABES, JUIFS ET OCCIDENTAUX, et presque aucun de Grèce continentale et locaux grecs provenant de Grèce et rien que de Grèce. Tout en prétendant bien sur, qu'ils sont le physique modèle du PEUPLE GREC. Diam's la musulmane franco-chypriote à la culture MTV-américonneries est évidemment une déesse hellène que les Grecs adulent profondément comme modèle ethnico-culturel de notre Hellas sacrée

2 )Les Turcs anatoliens sont originellement des peuplades indo-européennes (grecs, phrygiens, lydiens). Ces peuples sont génétiquement proches et ont été ultérieurement turcisés tout en sachant un mélange avec les Turcs originaux de type mongoloïde ou semi-mongoloïde. Les Turcs sont classifiés comme caucasoïdes. Les öguz (Turcs originaux) sont caucaso-mongoloïdes qui sont les fondateurs et envahisseurs ayant incorporés en eux plusieurs peuples au fil de leurs épées. Les Turcs sont un mélange de Slaves, Hellènes, Phrygiens, Lydiens, Thraces, Celtes, Arabes, Perses, Kurdes. Oui, ils sont majoritairement caucasoïdes mais négliger à ce point les caucaso-mongoloïdes öguz en prétendant que le mélange était sans impact ethnique est une inanité.
Ce peuple est simplement traitre à l'Europe car il est génétiquement et géographiquement à cheval entre l'Europe et l'Asie et par ce simple fait, ils ne savent pas choisir, ou plutôt, ils ont choisi : le camp de l'islam, c'est très honorable de leur part mais qu'ils ne viennent donc pas s'ingérer dans les affaires qui ne les regardent pas.


Il faut savoir aussi que, dû aux "échanges" de 1922, il y a aujourd'hui 2 millions de Micrasiates (Hellènes d'Asie Mineure) en Grèce continentale et leur phénotype est-méditerranéen (pontique) est plus prononcé, leur pigmentation est relativement un peu plus foncée que les Grecs se trouvant sur les côtes égéennes, encore plus des Grecs de l'intérieur du pays et des régions du nord, qui eux, ont clairement un phénotype pas très différent des Serbes. La preuve en est, selon la même source qu'utilise notre Kurtoğlu (La carte génétique de l’Europe publiée par la revue Nature en 2008), beaucoup de symboles "GR" s'entremêlent avec les peuples des Balkans.
Ils sont Hellènes a part entière malgré qu'ils aient subit un peu de "racisme" de la part des autres Grecs, tout simplement parce qu'il y avait des cas suspects parmi eux (des Grecs parlant le Turc).
D'où l'insulte "Turkosporoi" (sperme de Turc).
Je n'ai jamais dit que les Micrasiates n'étaient pas des Grecs. A mes yeux, ce sont de vrais Grecs, de même que les Crétois.
Chypre a par contre eu des colonies phéniciennes.


Les Grecs sont et ont toujours étés de trois types caucasoïdes différents NATIFS D'EUROPE : Alpins, méditerranéens, Dinariques et une petite minorité nordique. Les deux types majoritaires sont les Alpins et les Méditerranéens avec une grosse minorité Dinarique. (études de C.Coon et Dienekes Pontikos principalement)

Source : http://dienekes.110mb.com/articles/hellenes/

Mais ce cher İskender Kurtoğlu ouvre sa bouche de Turc et nous parle d'un "peuplement proche-oriental de l'Europe du Sud" avec certitude. Sans aucune autres précisions. Je vais donc y aller de ma plume :

Plusieurs généticiens débattent pour savoir si l'ascendance des européens actuels est paléolithique native d'Europe ou néolithique native du Proche-orient.

Ils se basent sur des Haplogroupes (J2, E1b1b) qui ont été distribués il y a plusieurs millénaires et par plusieurs peuples comme un indicateur présumé d'une origine précise et commune dans un espace temps très long. (10000 ans). C'est très incertain et non une preuve irréfutable de connections phylogénétiques des peuples.

Pourquoi ?

- Car ces Haplogroupes (J2, E1b1b) ont été distribués il y a plusieurs millénaires et par plusieurs peuples et ne fondent pas un indicateur présumé d'une origine précise et commune dans un espace temps très long. (10000 ans). l'haplogroupe J1 (orientaux, levantins) n'étant pas forcément l'origine. L'haplogroupe J2 ayant l'Anatolie et non le proche-orient comme origine.

- Parce que la pigmentation de la peau n'est pas une valeur déterminante dans les connections phylogénétiques des peuples modernes du monde. Si certains européens du Sud peuvent avoir la même pigmentation que les "Arabes clairs" (Levantins) C.Coon a suggéré que, pour être analysée, la couleur de peau doit obligatoirement être examinée sur les parties du corps qui ne sont pas exposées aux soleil car la couleur de peau est évolutive. Examinons la couleur de peau non-exposée au soleil d'un Syrien avec celle d'un Grec, elle est 10 fois plus foncée.


- Car ces prétendues migrations ne concernaient pas seulement l'Europe du Sud mais l'Europe entière. La diffusion de l'agriculture proche-orientale aux chasseurs-cueilleurs s'est élargie a toute l'Europe :
Des chromosomes Y prétendument d'origine proche-orientale ont été retrouvé dans un pourcentage étrangement énorme en Irlande (lignée R1b-M269, un gradient régulier jusqu'à 100 %), et 20% du patrimoine génétique des Britanniques est de ce fameux chromosome Y.
Tout le monde sait que les Irlandais ont des gueules d'Arabes, n'est-ce pas ? Par ce simple fait, les études génétiques sont encore compromises.


Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Europe_n%C3%A9olithique#G.C3.A9n.C3.A9tique_du_N.C3.A9olithique

In this autosomal DNA plot of genetic distances derived from 120 allele frequencies, Greeks fall entirely within the cluster containing Caucasoid populations (upper right corner), wedged between Basques and Northern Europeans, and far away from Africans and Asians:

(Cavalli-Sforza, Menozzi and Piazza, 1994)






* * *

A recent paper has detected clades of haplogroups J and E3b that were likely not part of pre-historic migrations into Europe, but rather spread by later historical movements. Greeks possess none of the lineages denoting North African ancestry within the last 5000 years, and have only 2% (3/148) of the marker J-M267, which may reflect more recent Middle Eastern admixture.

(Semino et al. 2004)

* * *

An analysis of 10 autosomal allele frequencies in Southern Europeans (including Greeks, Cretans and other islanders) and various Middle Eastern and North African populations revealed a "line of sharp genetic change [that] runs from Gibraltar to Lebanon," which has divided the Mediterranean into distinct northern and southern clusters since at least the Neolithic period. The authors conclude that "gene flow was more the exception than the rule," attributing this result to "a joint product of initial geographic isolation and successive cultural divergence, leading to the origin of cultural barriers to population admixture."

(Simoni et al. 1999)

Source : http://racialreality.110mb.com/greeks.html

vendredi 23 avril 2010

Riposte : Défilé militaire à Athènes : des militaires s’expriment bruyamment sur leurs voisins européens…

En réponse de : http://lefilsduloup.blogspot.com/2010/04/defile-militaire-athenes-des-militaires.html

"... il y a un lourd contentieux à propos du nom de la Macédoine peuplée de Slaves orthodoxes (territoire anciennement occupé par les armées serbe, bulgare et grecque à l’occasion des Guerres balkaniques)"




"De Slaves orthodoxes".
Ce n'est même plus une insulte, c'est une déclaration de guerre. Ils sont beaux tes tziganes "slaves orthodoxes"...
Selon certaines études scientifiques, il y aurait plus de 40% de "métis" Slavo-gitans chez les Fyrom-bohémiens. Et ces pouilleux osent usurper ce noble nom appartenant aux Héllènes. Merci NATO d'avoir créer ce merveilleux état et de trainer encore plus notre patrimoine dans la boue.

"leurs voisins européens"
Voisins je veux bien à la limite, mais européens, c'est un peu trop pour mon petit coeur orthodoxe.

Quant aux insultes des militaires héllènes. Je n'ai qu'une chose à dire : We Are Coming

Serbia & Greece - Together we stand



Adolf Hitler devant la Grèce



Les Nationaux-Socialistes allemands d'ascendance grecque :

- Herbert von Karajan : origine grecque, le célèbre chef d'orchestre de la Wehrmacht également membre du NSDAP
- Wilhelm Canaris : responsable de l'Abwehr.
- Demetra Messala : épouse d'origine grecque d'Arno Breker, sculpteur officiel du parti nazi.
- Sevastianos Foulidis : Officiellement un haut-gradé dans la Wehrmacht. Il a été espion principal d'Hitler en Grèce. Il était essentiel en fournissant des informations pour les Allemands durant la guerre sur le flanc sud des Balkans.

Les Nationaux-Socialistes allemands d'ascendance turque :

- Aucun

Hiérarchie raciale officielle des Nationaux-Socialistes Allemands :

Hiérarchie des Allemands Hors du Reich (Volksliste) :

* Catégorie I: Volksdeutsche — Personnes d'ascendance allemande qui se sont engagés eux-mêmes en faveur du reich avant 1939.
* Catégorie II: Deutschstämmige — Personnes d'ascendance allemande qui sont restés passifs dans le combat.
* Catégorie III: Eingedeutschte — Personnes indigènes considérées par les Nazis comme partiellement Polonisés (principalement les Silésiens et les Kashubs); refuser de rejoindre cette liste pourrait engendrer une déportation dans un camp de concentration
* Catégorie IV: Rückgedeutschte — Personnes de nationalité polonaise considérées "raciallement valables", soutenant le Reich (ex., collaborateurs)

Listés par ordre du plus préférable au moins préférable :

Hiérarchie des Blancs européens

1) Allemands d'Allemagne (Reichdeutsche) - Les Allemands du nord sont dits "plus favorables" mais tous les citoyens allemands sont au sommet de la hiérarchie.

2) Allemands hors du Reich, Allemands ethniques, allemands dits "actifs", "Aryens" d'honneur des puissances de l'axe (Japonais), Les pays européens qui sont dans la Volksliste catégorie 1 et 2 (Volksdeutsche).

3) Allemands hors du Reich, Allemands "non-actifs" et les membres de familles (Deutschstämmige). Les handicapés, les opposants politiques, et les criminels sont dans la Volksliste catégorie 3 et 4.

4) Autres peuples germaniques très proches des Allemands (Norvégiens, Danois, Suédois, Finno-suédois [11], Estonien-Suédois, Féroïens , Flamands, Islandais, Anglais et Hollandais) mais considérés comme étant dans les catégories 1 et 2 dans la plupart des cas, plus particulièrement pour les sympathisants pro-Nazi. Jusqu'en 1942, les Héllènes étaient inclus dans cette catégorie car étant descendants des Anciens Grecs.

5) Italiens (particulièrement ceux des régions du nord de Rome, ex; Toscane, Lombardie, etc.), Espagnols (particulièrement les Basques) et les Portugais étaient considérés dans la catégorie 1 et 2, Plus particulièrement les sympathisants pro-Nazi (ex : Diplomates de l'Italie fasciste et de l'Espagne franquiste). Certains Italiens du Sud étaient moins bien considérés du fait de la suspicion de métissage avec les peuples africains et sémites, mais ils restent dans la même catégorie que les Italiens du nord). Les Héllènes ont été inclus dans cette catégorie après 1943 à cause de leur forte résistance anti-nazie.

6) Peuples Gaéliques/Celtiques : Irlandais, Ecossais et Gallois.

7) Peuple français de France (excepté les Alsaciens parlant allemand, et les Français sympathisants pro-Nazis qui sont dans les catégories 1 et 2).

8) Highlander Polish (Goralenvolk): an attempt to split the Polish nation by using local collaborators.

9) Hongrois, Estoniens, et Finlandais (en dépit de leurs langues non indo-européennes), Peuple Baltique (Lithuaniens et Lettons) Roumains, Bulgares et Croates.

10) Ukrainiens: Beaucoup d'entre eux on fait partie partie des divisions Waffen SS (SS-Galizien), pendant que d'autres ont été exterminés comme partisans suspectés de soutenir l'Armée Rouge.

11) Russes, Biélorusses (du côté est-slavique du groupe), Serbes (du côté sud-slavique du groupe) étaient considérés comme Untermensch ("sous-hommes") dans les textes idéologiques nazis.[16]

12) Les Polonais, considérés comme Untermensch ("sous-hommes") dans l'idéologie nazie.[17]

13) Ressortissants ennemis qui se trouvaient dans la catégorie raciale "blancs aryens" (à savoir les États-Unis d'Amérique et le Canada), mais vivaient en Allemagne à l'époque, ont été traités avec suspicion par des restrictions légales.

Les catégories de «races» jugés indignes et sujets à la discrimination.

14/15) Juden (Juifs) - divisés en différents degrés de confession religieuse, Les Mischlinge (mélanges) : demi-juifs, ensuite quart-Juifs et partiellement Juif (ceux d'un parent juif sont illégaux en vertu des lois de la race) et Rassenschande (traites à la race) c'est à dire les Allemands aryens qui se sont convertis au judaïsme.

14/15) Lebensunwertes «Leben» («vies indignes de vivre"). Ainsi que pour les Juifs, les Tsiganes / Roms sont également forcés de déportations dans les camps de concentration. Y compris le nombre infime de ressortissants allemands ayant la peau foncée : les non-Blancs d'Afrique coloniale, ainsi que les Arabes et les Berbères en Afrique du Nord. Les homosexuels et les personnes handicapées (maladies physiques et mentales) ont également été considérés comme faisant partie de cette catégorie, et sujets aux politiques eugénistes, y compris la stérilisation obligatoire, l'internement et la déportation.

Conclusion :

Les Grecs modernes étaient donc considérés comme très proches des Allemands Jusqu'en 1942 et sont redescendus au niveau des Italiens/Espagnols parce qu'ils ont résisté farouchement à la Wehrmacht.

Riposte : Nouvelle définition de l’identité grecque

En réponse de : http://lefilsduloup.blogspot.com/2010/03/nouvelle-definition-de-lidentite.html

nous nous demandons bien pourquoi les nationalistes grecs nous rabattaient les oreilles avec leur Enosis


Des nationalistes peut-être mais pas racialistes. Je ne suis pas un adepte de l'Enosis. Sous prétexte qu'Alexandrie nous appartenait, il faudrait qu'on aille faire la guerre aux Egyptiens pour la récupérer ?
Les Chypriotes sont Grecs mais à l’origine ils ne le sont que partiellement. Tout comme les Provençaux sont Français mais pas Gaulois. Or vous, vous ne montrez que quasiment des Chypriotes pour représenter la physionomie grecque alors que ce n’est pas un bon exemple. Ne parlons même pas de vos exemples de “Grecs” aux origines diverses.
Pete Sampras n’est pas Grec à l’origine, il a été adopté par des parents grecs. Je n'en ai aucune source vérifiable mais il est certain que cet américain, grec ou pas à l'origine, n'est plus considéré comme Grec par mon peuple.

Et quand on veut montrer le physique d’un peuple, il vaut mieux prendre des photos de groupes et non pas votre manière de cibler non seulement un seul portrait mais en plus des personnes dont les origines sont multiples

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http://i42.tinypic.com/25kou0z.jpg
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Pour les Grecs d’Anatolie, Ils sont Grecs, c'est certain. Malgré qu’ils n’ont pas été très bien acceptés par les locaux lors des échanges dans les années 20. On les appelait les “Turkosporoi” (sperme de turc). Sûrement que parmi eux, se trouvaient des Grecs ne parlant que le turc et des cas suspects.


Carte génétique de l’Europe :

http://i42.tinypic.com/2d6mryd.jpg

1. Les Grecs sont plus proches des Serbes que des Anatoliens. Plus de “GR” s’entremêlent dans les Balkans et se resserrent sur le continent

2. Cela prouve bien que les Chypriotes sont éloignés génétiquement des autres Grecs.

3. les Turcs Anatoliens sont de sang partiellement grec.

4. Les Grecs sont européens, de sang et de culture. Les Turco-mongoles, non.