vendredi 23 avril 2010

Adolf Hitler devant la Grèce



Les Nationaux-Socialistes allemands d'ascendance grecque :

- Herbert von Karajan : origine grecque, le célèbre chef d'orchestre de la Wehrmacht également membre du NSDAP
- Wilhelm Canaris : responsable de l'Abwehr.
- Demetra Messala : épouse d'origine grecque d'Arno Breker, sculpteur officiel du parti nazi.
- Sevastianos Foulidis : Officiellement un haut-gradé dans la Wehrmacht. Il a été espion principal d'Hitler en Grèce. Il était essentiel en fournissant des informations pour les Allemands durant la guerre sur le flanc sud des Balkans.

Les Nationaux-Socialistes allemands d'ascendance turque :

- Aucun

Hiérarchie raciale officielle des Nationaux-Socialistes Allemands :

Hiérarchie des Allemands Hors du Reich (Volksliste) :

* Catégorie I: Volksdeutsche — Personnes d'ascendance allemande qui se sont engagés eux-mêmes en faveur du reich avant 1939.
* Catégorie II: Deutschstämmige — Personnes d'ascendance allemande qui sont restés passifs dans le combat.
* Catégorie III: Eingedeutschte — Personnes indigènes considérées par les Nazis comme partiellement Polonisés (principalement les Silésiens et les Kashubs); refuser de rejoindre cette liste pourrait engendrer une déportation dans un camp de concentration
* Catégorie IV: Rückgedeutschte — Personnes de nationalité polonaise considérées "raciallement valables", soutenant le Reich (ex., collaborateurs)

Listés par ordre du plus préférable au moins préférable :

Hiérarchie des Blancs européens

1) Allemands d'Allemagne (Reichdeutsche) - Les Allemands du nord sont dits "plus favorables" mais tous les citoyens allemands sont au sommet de la hiérarchie.

2) Allemands hors du Reich, Allemands ethniques, allemands dits "actifs", "Aryens" d'honneur des puissances de l'axe (Japonais), Les pays européens qui sont dans la Volksliste catégorie 1 et 2 (Volksdeutsche).

3) Allemands hors du Reich, Allemands "non-actifs" et les membres de familles (Deutschstämmige). Les handicapés, les opposants politiques, et les criminels sont dans la Volksliste catégorie 3 et 4.

4) Autres peuples germaniques très proches des Allemands (Norvégiens, Danois, Suédois, Finno-suédois [11], Estonien-Suédois, Féroïens , Flamands, Islandais, Anglais et Hollandais) mais considérés comme étant dans les catégories 1 et 2 dans la plupart des cas, plus particulièrement pour les sympathisants pro-Nazi. Jusqu'en 1942, les Héllènes étaient inclus dans cette catégorie car étant descendants des Anciens Grecs.

5) Italiens (particulièrement ceux des régions du nord de Rome, ex; Toscane, Lombardie, etc.), Espagnols (particulièrement les Basques) et les Portugais étaient considérés dans la catégorie 1 et 2, Plus particulièrement les sympathisants pro-Nazi (ex : Diplomates de l'Italie fasciste et de l'Espagne franquiste). Certains Italiens du Sud étaient moins bien considérés du fait de la suspicion de métissage avec les peuples africains et sémites, mais ils restent dans la même catégorie que les Italiens du nord). Les Héllènes ont été inclus dans cette catégorie après 1943 à cause de leur forte résistance anti-nazie.

6) Peuples Gaéliques/Celtiques : Irlandais, Ecossais et Gallois.

7) Peuple français de France (excepté les Alsaciens parlant allemand, et les Français sympathisants pro-Nazis qui sont dans les catégories 1 et 2).

8) Highlander Polish (Goralenvolk): an attempt to split the Polish nation by using local collaborators.

9) Hongrois, Estoniens, et Finlandais (en dépit de leurs langues non indo-européennes), Peuple Baltique (Lithuaniens et Lettons) Roumains, Bulgares et Croates.

10) Ukrainiens: Beaucoup d'entre eux on fait partie partie des divisions Waffen SS (SS-Galizien), pendant que d'autres ont été exterminés comme partisans suspectés de soutenir l'Armée Rouge.

11) Russes, Biélorusses (du côté est-slavique du groupe), Serbes (du côté sud-slavique du groupe) étaient considérés comme Untermensch ("sous-hommes") dans les textes idéologiques nazis.[16]

12) Les Polonais, considérés comme Untermensch ("sous-hommes") dans l'idéologie nazie.[17]

13) Ressortissants ennemis qui se trouvaient dans la catégorie raciale "blancs aryens" (à savoir les États-Unis d'Amérique et le Canada), mais vivaient en Allemagne à l'époque, ont été traités avec suspicion par des restrictions légales.

Les catégories de «races» jugés indignes et sujets à la discrimination.

14/15) Juden (Juifs) - divisés en différents degrés de confession religieuse, Les Mischlinge (mélanges) : demi-juifs, ensuite quart-Juifs et partiellement Juif (ceux d'un parent juif sont illégaux en vertu des lois de la race) et Rassenschande (traites à la race) c'est à dire les Allemands aryens qui se sont convertis au judaïsme.

14/15) Lebensunwertes «Leben» («vies indignes de vivre"). Ainsi que pour les Juifs, les Tsiganes / Roms sont également forcés de déportations dans les camps de concentration. Y compris le nombre infime de ressortissants allemands ayant la peau foncée : les non-Blancs d'Afrique coloniale, ainsi que les Arabes et les Berbères en Afrique du Nord. Les homosexuels et les personnes handicapées (maladies physiques et mentales) ont également été considérés comme faisant partie de cette catégorie, et sujets aux politiques eugénistes, y compris la stérilisation obligatoire, l'internement et la déportation.

Conclusion :

Les Grecs modernes étaient donc considérés comme très proches des Allemands Jusqu'en 1942 et sont redescendus au niveau des Italiens/Espagnols parce qu'ils ont résisté farouchement à la Wehrmacht.

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