vendredi 23 avril 2010

Riposte : Défilé militaire à Athènes : des militaires s’expriment bruyamment sur leurs voisins européens…

En réponse de : http://lefilsduloup.blogspot.com/2010/04/defile-militaire-athenes-des-militaires.html

"... il y a un lourd contentieux à propos du nom de la Macédoine peuplée de Slaves orthodoxes (territoire anciennement occupé par les armées serbe, bulgare et grecque à l’occasion des Guerres balkaniques)"




"De Slaves orthodoxes".
Ce n'est même plus une insulte, c'est une déclaration de guerre. Ils sont beaux tes tziganes "slaves orthodoxes"...
Selon certaines études scientifiques, il y aurait plus de 40% de "métis" Slavo-gitans chez les Fyrom-bohémiens. Et ces pouilleux osent usurper ce noble nom appartenant aux Héllènes. Merci NATO d'avoir créer ce merveilleux état et de trainer encore plus notre patrimoine dans la boue.

"leurs voisins européens"
Voisins je veux bien à la limite, mais européens, c'est un peu trop pour mon petit coeur orthodoxe.

Quant aux insultes des militaires héllènes. Je n'ai qu'une chose à dire : We Are Coming

Serbia & Greece - Together we stand



Adolf Hitler devant la Grèce



Les Nationaux-Socialistes allemands d'ascendance grecque :

- Herbert von Karajan : origine grecque, le célèbre chef d'orchestre de la Wehrmacht également membre du NSDAP
- Wilhelm Canaris : responsable de l'Abwehr.
- Demetra Messala : épouse d'origine grecque d'Arno Breker, sculpteur officiel du parti nazi.
- Sevastianos Foulidis : Officiellement un haut-gradé dans la Wehrmacht. Il a été espion principal d'Hitler en Grèce. Il était essentiel en fournissant des informations pour les Allemands durant la guerre sur le flanc sud des Balkans.

Les Nationaux-Socialistes allemands d'ascendance turque :

- Aucun

Hiérarchie raciale officielle des Nationaux-Socialistes Allemands :

Hiérarchie des Allemands Hors du Reich (Volksliste) :

* Catégorie I: Volksdeutsche — Personnes d'ascendance allemande qui se sont engagés eux-mêmes en faveur du reich avant 1939.
* Catégorie II: Deutschstämmige — Personnes d'ascendance allemande qui sont restés passifs dans le combat.
* Catégorie III: Eingedeutschte — Personnes indigènes considérées par les Nazis comme partiellement Polonisés (principalement les Silésiens et les Kashubs); refuser de rejoindre cette liste pourrait engendrer une déportation dans un camp de concentration
* Catégorie IV: Rückgedeutschte — Personnes de nationalité polonaise considérées "raciallement valables", soutenant le Reich (ex., collaborateurs)

Listés par ordre du plus préférable au moins préférable :

Hiérarchie des Blancs européens

1) Allemands d'Allemagne (Reichdeutsche) - Les Allemands du nord sont dits "plus favorables" mais tous les citoyens allemands sont au sommet de la hiérarchie.

2) Allemands hors du Reich, Allemands ethniques, allemands dits "actifs", "Aryens" d'honneur des puissances de l'axe (Japonais), Les pays européens qui sont dans la Volksliste catégorie 1 et 2 (Volksdeutsche).

3) Allemands hors du Reich, Allemands "non-actifs" et les membres de familles (Deutschstämmige). Les handicapés, les opposants politiques, et les criminels sont dans la Volksliste catégorie 3 et 4.

4) Autres peuples germaniques très proches des Allemands (Norvégiens, Danois, Suédois, Finno-suédois [11], Estonien-Suédois, Féroïens , Flamands, Islandais, Anglais et Hollandais) mais considérés comme étant dans les catégories 1 et 2 dans la plupart des cas, plus particulièrement pour les sympathisants pro-Nazi. Jusqu'en 1942, les Héllènes étaient inclus dans cette catégorie car étant descendants des Anciens Grecs.

5) Italiens (particulièrement ceux des régions du nord de Rome, ex; Toscane, Lombardie, etc.), Espagnols (particulièrement les Basques) et les Portugais étaient considérés dans la catégorie 1 et 2, Plus particulièrement les sympathisants pro-Nazi (ex : Diplomates de l'Italie fasciste et de l'Espagne franquiste). Certains Italiens du Sud étaient moins bien considérés du fait de la suspicion de métissage avec les peuples africains et sémites, mais ils restent dans la même catégorie que les Italiens du nord). Les Héllènes ont été inclus dans cette catégorie après 1943 à cause de leur forte résistance anti-nazie.

6) Peuples Gaéliques/Celtiques : Irlandais, Ecossais et Gallois.

7) Peuple français de France (excepté les Alsaciens parlant allemand, et les Français sympathisants pro-Nazis qui sont dans les catégories 1 et 2).

8) Highlander Polish (Goralenvolk): an attempt to split the Polish nation by using local collaborators.

9) Hongrois, Estoniens, et Finlandais (en dépit de leurs langues non indo-européennes), Peuple Baltique (Lithuaniens et Lettons) Roumains, Bulgares et Croates.

10) Ukrainiens: Beaucoup d'entre eux on fait partie partie des divisions Waffen SS (SS-Galizien), pendant que d'autres ont été exterminés comme partisans suspectés de soutenir l'Armée Rouge.

11) Russes, Biélorusses (du côté est-slavique du groupe), Serbes (du côté sud-slavique du groupe) étaient considérés comme Untermensch ("sous-hommes") dans les textes idéologiques nazis.[16]

12) Les Polonais, considérés comme Untermensch ("sous-hommes") dans l'idéologie nazie.[17]

13) Ressortissants ennemis qui se trouvaient dans la catégorie raciale "blancs aryens" (à savoir les États-Unis d'Amérique et le Canada), mais vivaient en Allemagne à l'époque, ont été traités avec suspicion par des restrictions légales.

Les catégories de «races» jugés indignes et sujets à la discrimination.

14/15) Juden (Juifs) - divisés en différents degrés de confession religieuse, Les Mischlinge (mélanges) : demi-juifs, ensuite quart-Juifs et partiellement Juif (ceux d'un parent juif sont illégaux en vertu des lois de la race) et Rassenschande (traites à la race) c'est à dire les Allemands aryens qui se sont convertis au judaïsme.

14/15) Lebensunwertes «Leben» («vies indignes de vivre"). Ainsi que pour les Juifs, les Tsiganes / Roms sont également forcés de déportations dans les camps de concentration. Y compris le nombre infime de ressortissants allemands ayant la peau foncée : les non-Blancs d'Afrique coloniale, ainsi que les Arabes et les Berbères en Afrique du Nord. Les homosexuels et les personnes handicapées (maladies physiques et mentales) ont également été considérés comme faisant partie de cette catégorie, et sujets aux politiques eugénistes, y compris la stérilisation obligatoire, l'internement et la déportation.

Conclusion :

Les Grecs modernes étaient donc considérés comme très proches des Allemands Jusqu'en 1942 et sont redescendus au niveau des Italiens/Espagnols parce qu'ils ont résisté farouchement à la Wehrmacht.

Riposte : Nouvelle définition de l’identité grecque

En réponse de : http://lefilsduloup.blogspot.com/2010/03/nouvelle-definition-de-lidentite.html

nous nous demandons bien pourquoi les nationalistes grecs nous rabattaient les oreilles avec leur Enosis


Des nationalistes peut-être mais pas racialistes. Je ne suis pas un adepte de l'Enosis. Sous prétexte qu'Alexandrie nous appartenait, il faudrait qu'on aille faire la guerre aux Egyptiens pour la récupérer ?
Les Chypriotes sont Grecs mais à l’origine ils ne le sont que partiellement. Tout comme les Provençaux sont Français mais pas Gaulois. Or vous, vous ne montrez que quasiment des Chypriotes pour représenter la physionomie grecque alors que ce n’est pas un bon exemple. Ne parlons même pas de vos exemples de “Grecs” aux origines diverses.
Pete Sampras n’est pas Grec à l’origine, il a été adopté par des parents grecs. Je n'en ai aucune source vérifiable mais il est certain que cet américain, grec ou pas à l'origine, n'est plus considéré comme Grec par mon peuple.

Et quand on veut montrer le physique d’un peuple, il vaut mieux prendre des photos de groupes et non pas votre manière de cibler non seulement un seul portrait mais en plus des personnes dont les origines sont multiples

http://i42.tinypic.com/r0p1k4.jpg
http://i39.tinypic.com/2dl5ftc.jpg
http://i44.tinypic.com/23sgqkm.jpg
http://i42.tinypic.com/25kou0z.jpg
http://i42.tinypic.com/2d6mryd.jpg

Pour les Grecs d’Anatolie, Ils sont Grecs, c'est certain. Malgré qu’ils n’ont pas été très bien acceptés par les locaux lors des échanges dans les années 20. On les appelait les “Turkosporoi” (sperme de turc). Sûrement que parmi eux, se trouvaient des Grecs ne parlant que le turc et des cas suspects.


Carte génétique de l’Europe :

http://i42.tinypic.com/2d6mryd.jpg

1. Les Grecs sont plus proches des Serbes que des Anatoliens. Plus de “GR” s’entremêlent dans les Balkans et se resserrent sur le continent

2. Cela prouve bien que les Chypriotes sont éloignés génétiquement des autres Grecs.

3. les Turcs Anatoliens sont de sang partiellement grec.

4. Les Grecs sont européens, de sang et de culture. Les Turco-mongoles, non.

Riposte : Criminalité élevée dans les pays « germaniques »

En réponse de : http://lefilsduloup.blogspot.com/2009/12/criminalite-elevee-dans-les-pays.html

Il est de coutume chez les fafs, mais aussi ailleurs, de vanter la « bonne tenue », la « tranquillité », la « propreté » des sociétés germaniques, par opposition à la « saleté », au « chaos », aux « magouilles » de tous les « basanés » et autres « inférieurs » qui « hantent » le reste de la surface de la planète. Ces « merveilleux » peuples « supérieurs » auraient vécu dans un havre de paix, jusqu’à l’arrivée des « méchants immigrés » qui auraient immédiatement imposé une destruction sans précédent à ces « riantes » sociétés, du fait de leur « barbarie intrinsèque ». Il faudrait au moins prouver rationnellement ces assertions. Las, ce n’est pas du tout ce que nous disent les statistiques disponibles sur les pays membres de l’UE :


Le fils du Loup affuble les clichés gauchistes et ultra politiquement correct sur les "fafs". On dirait un film hollywoodien Reductio ad Hitlerum. Comme ci, tous les ethno-différentialistes germaniques étaient tous des skinheads décérébrés.

Sur le taux d'homicides consommés :
http://lodel.irevues.inist.fr/crimprev/docannexe/image/90/img-2.jpg


Premièrement, Qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire ? Que les Slaves, les Turcs et les Portugais sont des sauvages ?
Ou bien que la mafia et la corruption y sont puissantes ?
Qui peut bien savoir exactement les problèmes que rencontrent ces peuples, les statistiques ne révèlent qu'une vérité modulable à sa guise.

Deuxièmement, le continent européen tout entier, et pas seulement les pays germaniques, rencontrent des changements fondamentaux depuis la fin de la deuxième guerre mondiale et doivent se soumettre à la mondialisation, ce qui inclut l'immigration massive et ce n'est certainement pas la seule couleuvre que l'on veut nous faire avaler aux forceps. Natalité extrêmement basse, économie fuyante, éclatement des moeurs, des valeurs chrétiennes, famille laissée à l'abandon, école incompétente, patriotisme ringardisé, nationalisme diabolisé, médias contrôlés, pourrissement de la jeunesse par l'américanisation de la culture.

Alors si le taux de criminalité est le plus élévé chez les Nations où la mondialisation y est la plus ancrée. La question de savoir si ce sont les immigrés ou les autochtones les méchants délinquants. Qu'est-ce que ça peut bien changer à ces sociétés dégénérées ?

La réelle question est de savoir quelle est la cause ? Qui a pensé et voulu tous ces malheurs ? Des Germains, des Celtes, des Latins, des Slaves, des Grecs ou une communauté longuement étrangère sur le sol européen et qui veut prendre sa revanche ? Evidemment que nous ne vivions pas dans un "havre de paix", mais au moins nous étions heureux en tant que peuples maîtres chez eux et confiants dans leur avenir. Nous n'avions pas peur de cibler l'ennemi et nous étions heureux même dans le malheur des catastrophes qu'ont connu notre continent car nous étions encore des NATIONS respectées, respectables et saines car homogènes.
Aujourd'hui, nous assistons bel et bien au suicide collectif et organisé des peuples les plus doués, catastrophe unique dans l'histoire de l'humanité.
A t-on demander à ces peuples par référendum si ils étaient d'accord d'accueillir le "trop plein" du tiers-monde ?
Que les allogènes non-européens soient ingénieurs ou braqueurs de petites vieilles, Qu'importe, ils déstabiliseront toujours la cohésion national de nos peuples par l'écart ethno-culturel qui nous différencie.

Alors oui, un Turc en Allemagne est cent fois moins criminogène qu'un Maghrébin en France mais il n'en reste pas moins indésirable. Un Polonais ou un Italien en Allemagne l'est moins et ce n'est certainement pas une question de taux de criminalité.