mercredi 26 mai 2010

Le Turc l'ouvre encore

En réponse de : http://lefilsduloup.blogspot.com/2010/05/la-race-blancheeuropeenne-existe-t-elle.html

Explications de cartographie génétique de l'Europe publiée dans la Revue Nature :




Source : http://declinisme.blogspot.com/2008/09/les-europeens-appartiennent-la-meme.html


Photo d'étudiants grecs.
Petit conseil Iskender, la prochaine fois que tu essayes de montrer le physique d'un peuple, ne choisis pas des photos insidieusement sélectionnées mais une photo de plusieurs personnes regroupées.
Note : Des Grecs aux cheveux clairs, un délire absolu de Victor Hugo.





Il semblerait que notre historien et anthropologue en herbe fait encore des siennes. Les Européens ne sont donc pas de même race. C'est une mentalité turque, typique et similaire à la mentalité juive voulant à tout prix diviser les cousins européens en s'appuyant sur des études d'un certain Chao Tian.

La carte génétique de l’Europe publiée par la revue Nature en 2008 suggérait déjà qu’un Grec continental ou un Albanais seraient plus proches d’un Turc anatolien que d’un Chypriote grec. Cela aurait dû alerter.

Source : http://lefilsduloup.blogspot.com/2010/05/la-race-blancheeuropeenne-existe-t-elle.html

(Iskender Kortütruc)





Je le redis encore : Il est normal qu'un Grec continental soit plus proche d'un Turc anatolien (opinion volontairement exagérée par Kurtoğlu) que d'un Chypriote pour deux raison :

1) Les Chypriotes sont partiellement Grecs, les indigènes natifs de cette île étaient d'origine proches-oriental, auxquelles se sont greffés des Grecs résultant une certaine filiation génétique. Le tout a été hellénisé. Les nationalistes Grecs adeptes de l'enosis les voient comme des frères mais savent bien qu'il y a une certaine différence entre eux, ils ne les méprisent pas pour autant. Je ne sais pas dans quelle langue il faut te le dire : CYPRUS IS NOT HELLAS.

Tout en sachant qu'auparavant Iskender Kortütruc-machin a dédié un sujet la dessus en sélectionnant de façon insidieuse diverses photos de Grecs CHYPRIOTES, MICRASIATES, MELANGES AVEC ARABES, JUIFS ET OCCIDENTAUX, et presque aucun de Grèce continentale et locaux grecs provenant de Grèce et rien que de Grèce. Tout en prétendant bien sur, qu'ils sont le physique modèle du PEUPLE GREC. Diam's la musulmane franco-chypriote à la culture MTV-américonneries est évidemment une déesse hellène que les Grecs adulent profondément comme modèle ethnico-culturel de notre Hellas sacrée

2 )Les Turcs anatoliens sont originellement des peuplades indo-européennes (grecs, phrygiens, lydiens). Ces peuples sont génétiquement proches et ont été ultérieurement turcisés tout en sachant un mélange avec les Turcs originaux de type mongoloïde ou semi-mongoloïde. Les Turcs sont classifiés comme caucasoïdes. Les öguz (Turcs originaux) sont caucaso-mongoloïdes qui sont les fondateurs et envahisseurs ayant incorporés en eux plusieurs peuples au fil de leurs épées. Les Turcs sont un mélange de Slaves, Hellènes, Phrygiens, Lydiens, Thraces, Celtes, Arabes, Perses, Kurdes. Oui, ils sont majoritairement caucasoïdes mais négliger à ce point les caucaso-mongoloïdes öguz en prétendant que le mélange était sans impact ethnique est une inanité.
Ce peuple est simplement traitre à l'Europe car il est génétiquement et géographiquement à cheval entre l'Europe et l'Asie et par ce simple fait, ils ne savent pas choisir, ou plutôt, ils ont choisi : le camp de l'islam, c'est très honorable de leur part mais qu'ils ne viennent donc pas s'ingérer dans les affaires qui ne les regardent pas.


Il faut savoir aussi que, dû aux "échanges" de 1922, il y a aujourd'hui 2 millions de Micrasiates (Hellènes d'Asie Mineure) en Grèce continentale et leur phénotype est-méditerranéen (pontique) est plus prononcé, leur pigmentation est relativement un peu plus foncée que les Grecs se trouvant sur les côtes égéennes, encore plus des Grecs de l'intérieur du pays et des régions du nord, qui eux, ont clairement un phénotype pas très différent des Serbes. La preuve en est, selon la même source qu'utilise notre Kurtoğlu (La carte génétique de l’Europe publiée par la revue Nature en 2008), beaucoup de symboles "GR" s'entremêlent avec les peuples des Balkans.
Ils sont Hellènes a part entière malgré qu'ils aient subit un peu de "racisme" de la part des autres Grecs, tout simplement parce qu'il y avait des cas suspects parmi eux (des Grecs parlant le Turc).
D'où l'insulte "Turkosporoi" (sperme de Turc).
Je n'ai jamais dit que les Micrasiates n'étaient pas des Grecs. A mes yeux, ce sont de vrais Grecs, de même que les Crétois.
Chypre a par contre eu des colonies phéniciennes.


Les Grecs sont et ont toujours étés de trois types caucasoïdes différents NATIFS D'EUROPE : Alpins, méditerranéens, Dinariques et une petite minorité nordique. Les deux types majoritaires sont les Alpins et les Méditerranéens avec une grosse minorité Dinarique. (études de C.Coon et Dienekes Pontikos principalement)

Source : http://dienekes.110mb.com/articles/hellenes/

Mais ce cher İskender Kurtoğlu ouvre sa bouche de Turc et nous parle d'un "peuplement proche-oriental de l'Europe du Sud" avec certitude. Sans aucune autres précisions. Je vais donc y aller de ma plume :

Plusieurs généticiens débattent pour savoir si l'ascendance des européens actuels est paléolithique native d'Europe ou néolithique native du Proche-orient.

Ils se basent sur des Haplogroupes (J2, E1b1b) qui ont été distribués il y a plusieurs millénaires et par plusieurs peuples comme un indicateur présumé d'une origine précise et commune dans un espace temps très long. (10000 ans). C'est très incertain et non une preuve irréfutable de connections phylogénétiques des peuples.

Pourquoi ?

- Car ces Haplogroupes (J2, E1b1b) ont été distribués il y a plusieurs millénaires et par plusieurs peuples et ne fondent pas un indicateur présumé d'une origine précise et commune dans un espace temps très long. (10000 ans). l'haplogroupe J1 (orientaux, levantins) n'étant pas forcément l'origine. L'haplogroupe J2 ayant l'Anatolie et non le proche-orient comme origine.

- Parce que la pigmentation de la peau n'est pas une valeur déterminante dans les connections phylogénétiques des peuples modernes du monde. Si certains européens du Sud peuvent avoir la même pigmentation que les "Arabes clairs" (Levantins) C.Coon a suggéré que, pour être analysée, la couleur de peau doit obligatoirement être examinée sur les parties du corps qui ne sont pas exposées aux soleil car la couleur de peau est évolutive. Examinons la couleur de peau non-exposée au soleil d'un Syrien avec celle d'un Grec, elle est 10 fois plus foncée.


- Car ces prétendues migrations ne concernaient pas seulement l'Europe du Sud mais l'Europe entière. La diffusion de l'agriculture proche-orientale aux chasseurs-cueilleurs s'est élargie a toute l'Europe :
Des chromosomes Y prétendument d'origine proche-orientale ont été retrouvé dans un pourcentage étrangement énorme en Irlande (lignée R1b-M269, un gradient régulier jusqu'à 100 %), et 20% du patrimoine génétique des Britanniques est de ce fameux chromosome Y.
Tout le monde sait que les Irlandais ont des gueules d'Arabes, n'est-ce pas ? Par ce simple fait, les études génétiques sont encore compromises.


Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Europe_n%C3%A9olithique#G.C3.A9n.C3.A9tique_du_N.C3.A9olithique

In this autosomal DNA plot of genetic distances derived from 120 allele frequencies, Greeks fall entirely within the cluster containing Caucasoid populations (upper right corner), wedged between Basques and Northern Europeans, and far away from Africans and Asians:

(Cavalli-Sforza, Menozzi and Piazza, 1994)






* * *

A recent paper has detected clades of haplogroups J and E3b that were likely not part of pre-historic migrations into Europe, but rather spread by later historical movements. Greeks possess none of the lineages denoting North African ancestry within the last 5000 years, and have only 2% (3/148) of the marker J-M267, which may reflect more recent Middle Eastern admixture.

(Semino et al. 2004)

* * *

An analysis of 10 autosomal allele frequencies in Southern Europeans (including Greeks, Cretans and other islanders) and various Middle Eastern and North African populations revealed a "line of sharp genetic change [that] runs from Gibraltar to Lebanon," which has divided the Mediterranean into distinct northern and southern clusters since at least the Neolithic period. The authors conclude that "gene flow was more the exception than the rule," attributing this result to "a joint product of initial geographic isolation and successive cultural divergence, leading to the origin of cultural barriers to population admixture."

(Simoni et al. 1999)

Source : http://racialreality.110mb.com/greeks.html

3 commentaires:

  1. La force des Grecs de l'antiquité est d'avoir totalement assimilé absorbé, dissout des populations prestigieuses comme les Phrygiens, Cariens, Lydiens, Minoens, Etéochypriotes et c'est cette fusion qui a créé les Grecs du début de l'ère chrétienne (et même d'avant). Il est donc grotesque de faire une différence entre Grecs de Chypre et de Grèce. Je vous signale que le Dodécanèse était peuplé de Cariens avant les Grecs. La Crète de Minoens proches des Lydiens avant les Grecs. Le Pont (nord est de l"Anatolie) de populations diverses avant les Grecs. Donc mettre de côté les Chypriotes n'a aucun sens. Il y avait à Chypre des Etéochypriotes avant les Grecs, dont la plupart venaient d'Asie mineure et très peu de comptoirs phéniciens. Si vous analysez la Grèce région par région et non de façon globale vous trouverez que les Chypriotes et les habitants de Rhodes sont les mêmes. Au Moyen-âge il y a eu les invasions slaves, après la reconquête l'Empire romain d'Orient a déporté des Slaves en Asie mineure et a fait venir d'Asie mineure de Chrétiens d'Orient, notamment d'Arménie. C'est dans tous les ouvrages sérieux sur l'empire romain d'Orient. Culture grecque, langue grecque issue de l'antiquité, religion chrétienne, voilà les ingrédients de la fusion grecque, de cette belle identité si forte et si enracinée depuis des milliers d'années, et en tout cas, enracinée là bien avant ses "concurrents" turcs ou slaves.

    Quant aux Turcs, une étude turque montre que les Turcs ne sont pas d'origine turque.
    Ils sont d'origine grecque, arménienne, etc., turquisés linguistiquement.
    En effet voici l'étude selon laquelle les Turcs d'Anatolie (partie asiatique de la Turquie) n'ont que 13% de gênes turciques d'Asie centrale (les gênes des conquérants qui ont conquis l'Anatolie il y a 1000 ans)
    American Journal of Physical Anthropology, Volume 136, Issue 1, pages 11–18, May 2008, Ceren Caner Berkman*, Havva Dinc, Ceran Sekeryapan, Inci Togan Abstract "They invaded Anatolia and then the language of the region was gradually replaced by the Turkic language."" Analysis suggested that, genetically, Anatolia is more closely related with the Balkan populations than to the Central Asian populations". "the Central Asian contribution to Anatolia was estimated as 13%. "

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  2. Un lien vers l'étude sur l'origine des Turcs :
    http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/ajpa.20772/abstract

    Quant à la Grèce il est regrettable que les études ne soient jamais faites région par région Effectuer des moyennes de Rhodes jusqu'à Corfou, de gens du Pont ou de Thrace ne permet pas de comprendre quoi que ce soit.

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  3. Paie tes dettes avant de la ramener. Feignant.

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