mercredi 5 janvier 2011
lundi 29 novembre 2010
Juifs et Turcs
Juifs et Turcs
Article publié dans Rivarol (septembre 2007)
Juifs et Turcs contre les chrétiens
Nous trouvons, dans le livre d’André Harris, Alain de Sédouy intitulé Juifs et Français (Grasset 1979, Poche), un intéressant témoignage sur les atrocités commises par les Turcs contre les populations grecques après la Première Guerre mondiale. Voici ce qu’en dit un certain Maurice Denailles, commerçant du Sentier interrogé par les deux journalistes. Celui-ci est un juif d’origine turque, né en 1912, et qui a émigré en France en 1924. Il se souvient de l’arrivée au pouvoir de Mustapha Kemal : « Mes premiers souvenirs sont horribles, dit-il. C’est déjà un génocide. J’ai assisté au massacre des Grecs de Smyrne, j’ai vu des quartiers entiers brûler. J’ai vu les Turcs parader avec des colliers faits de bouts de seins. J’ai vu des popes grecs descendre en rang le long des rues, obligés de marcher sur des tessons de bouteilles jetés par la foule. »
Maurice Denailles, quant à lui, se réjouit que les juifs n’aient alors pas eu à souffrir de la fureur des Turcs : « Heureusement, explique-t-il, Kemal avait une mère demi-juive, ce qui nous a valu, cette fois-là, d’être épargnés. » (page 94)
Détruire les églises
Depuis fort longtemps déjà, les juifs nourrissent de grandes espérances sur les Turcs. En 1453, au moment de la prise de Constantinople par les Ottomans, les juifs se réjouissaient de la défaite des chrétiens.
Dans son livre Rendez-vous avec l’islam (Grasset, 2005), Alexandre Adler confirme bien que les juifs ont soutenu à cette époque l’invasion turque, de même qu’ils avaient soutenu l’invasion arabe en Espagne quelques siècles plus tôt. « Partout dans leur avance, écrit-il, les juifs… accueillent les Turcs en libérateurs. » (page 168).
Voici ce qu’en écrit le grand historien juif Léon Poliakov :
« Dans certains milieux marranes, cette victoire des “Ismaélites”, qui a laissé une impression prodigieuse à travers toute l’Europe, fut comprise comme le présage de la chute prochaine “d’Edom” [la chrétienté, ndlr] et de la délivrance imminente d’Israël. »
Les juifs s’attendaient alors à la venue de leur Messie tant espérée : « Un actif conventicule de Marranes à Valence, assuré que le Messie venait d’apparaître sur une montagne près du Bosphore, se prépara alors à émigrer en Turquie : “… Les goys aveugles ne voient pas, disait une zélatrice du groupe, qu’après leur avoir été soumis, notre Dieu fera en sorte que nous dominerons sur eux ; notre Dieu nous a promis que nous irons en Turquie ; nous avons entendu dire que l’Antéchrist va venir ; on dit que le Turc détruira les églises chrétiennes et en fera des étables pour les bestiaux, et qu’aux juifs et aux synagogues, il fera honneur et révérence…” ». (Histoire de l’antisémitisme, tome I, Point Seuil, 1981, p. 155).
L’alliance contre les chrétiens
On sait que de nombreux juifs avaient trouvé refuge dans l’empire ottoman après leur expulsion massive d’Espagne et des nombreuses possessions espagnoles en 1492. Parmi eux, il y avait le fameux Joseph Nassi, qui était l’héritier de la richissime famille Mendès. Celui-ci gagna la faveur du sultan Soliman. Poliakov écrit à son sujet : « Grâce à un réseau international marrane », il fut pendant une quinzaine d’années « l’homme le mieux renseigné d’Europe, et ses informations, doublées de ses cadeaux, lui permettaient de constituer à lui seul un “groupe de pression”, d’infléchir la politique étrangère ottomane, de décider même de déclarations de guerre et de conclusions de paix. » (page 211).
Ennemi juré de la chrétienté, Joseph Nassi entendait bien se venger des chrétiens, par Turcs interposés. En 1569, Nassi, fait duc de Naxos par le Sultan quelques années plus tôt, « conseille à Soliman d’attaquer Venise pour prendre Chypre dont il veut faire un refuge pour les Juifs, écrit Jacques Attali (Les Juifs, le monde et l’argent, Fayard, 2002, pp. 265).
Léon Poliakov écrit pour sa part : « Lorsqu’il poussa en 1570 Sélim à faire la guerre à Venise, l’entreprise débuta par la conquête de Chypre, dont il espérait devenir roi ; on sait que la grande île est le marchepied géographique de la Palestine. Mais la prise de Chypre suscita l’alliance entre Venise, le Saint-Siège et l’Espagne, et aboutit à la grande défaite navale turque à Lépante. En conséquence, Nassi tomba dans une demi-disgrâce… et d’autres favoris juifs le supplantèrent dans la faveur du Sultan… Son nom, qui pendant quinze ans ne cessa de défrayer la correspondance diplomatique européenne, fit encore longtemps après sa mort travailler les imaginations, écrit Poliakov. Il concourut, à travers Le Juif de Malte de Marlowe, à la cristallisation de l’image de Shylock, le marchand de Venise." (p. 214).
Les origines juives du kémalisme
Il faut savoir que le mouvement des Jeunes Turcs au début du XXe siècle, la révolution kémaliste et le laïcisme occidental de la Turquie trouvent une partie de leurs origines dans le judaïsme. Les Donmehs ─ des juifs faussement convertis à l’islam (cf. Psychanalyse du judaïsme, pages 158-164) ─ ont effectivement joué un rôle important dans l’histoire récente de la Turquie. Voici ce qu’en dit Gershom Scholem, qui est l’un des grands penseurs juifs du XXe siècle : Les Donmehs, écrit-il, « ont fourni de nombreux membres à l’intelligentsia des Jeunes Turcs… Ils ont joué un rôle important dans les débuts du Comité Union et Progrès, organisation du mouvement Jeune Turc qui eut son origine à Salonique… On a la preuve que David Bey, un des trois ministres du premier gouvernement Jeune Turc et chef important du parti Jeune Turc, était un Donmeh. » (Le Messianisme juif, 1971, Calmann-Lévy, 1974, p. 235).
Le très influent directeur de presse Alexandre Adler confirme les origines juives et maçonniques de la Turquie kémaliste : « L’un des fondateurs au moins du mouvement Jeune Turc, le 14 juillet 1889, jour centenaire de la prise de la Bastille est un Donmeh avoué, Sükrü Dey. Plusieurs généraux Donmehs se battront à la tête de leurs troupes… dans les malheureuses guerres de l’empire. Mais l’entourage de Mustapha Kemal, malgré sa totale rupture avec son comploteur ministre des Finances donmeh Djazid Bey, sera toujours rempli de sabbatéens [les Donmeh, ndlr] (et par ailleurs d’une coterie de franc-maçons musulmans sunnites à l’origine, de rite écossais). » (Rendez-vous avec l’islam, page 175).
Dans une conférence du 14 mars 2005 à la maison Itshak Rabin, Alexandre Adler s’exprimait un peu plus librement, devant un public juif : « Vous ne serez pas étonnés d’apprendre que j’ai de nombreux amis Donmeh, c’est-à-dire disciples de Sabbataï Zevi, et je les trouve assez extraordinaires… S’il n’y avait pas autant de Donmeh dans les élites turques de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, il n’y aurait pas eu de kémalisme. »
Et Adler ajoute : Les « grands Donmeh » ont été « à la tête de la réforme de l’école en Turquie » et ont créé « les premiers lycées modernes dont celui où Mustapha Kemal a fait ses études à Salonique. Bien sûr, poursuit Adler, les islamistes turcs disent que Kemal lui-même était un Donmeh, c’est faux. En revanche, son entourage, ses amis, étaient fortement Donmeh. » (http://www.beit-haverim.com/anoter/ConfAdler0305.htm).
C’est l’influence de ces juifs Donmeh, convertis faussement à l’islam, qui permet d’expliquer l’alliance actuelle entre la Turquie et Israël, explique Alexandre Adler : « S’il n’y avait pas eu de Donmeh qui ont occupé le poste de ministre des Affaires étrangères durant les trente premières années de la Turquie laïque et qui encore aujourd’hui représentent 40 % des ambassadeurs de Turquie dans le monde, dont la totalité des ambassadeurs de Turquie aux États-Unis, depuis maintenant 1950, sans doute que la Turquie ne serait pas l’alliée d’Israël. » (Cf. Psychanalyse du judaïsme, pages 158-164).
Il reste à savoir dans quelle mesure les généraux donmehs des armées turques ont joué un rôle dans les massacres des chrétiens en Turquie après la Première Guerre mondiale, et dans le génocide des chrétiens d’Arménie. Mais ceci est une autre histoire.
Hervé RYSSEN
Source : http://herveryssen.over-blog.com/pages/juifs-et-turcs-4080240.html
Article publié dans Rivarol (septembre 2007)
Juifs et Turcs contre les chrétiens
Nous trouvons, dans le livre d’André Harris, Alain de Sédouy intitulé Juifs et Français (Grasset 1979, Poche), un intéressant témoignage sur les atrocités commises par les Turcs contre les populations grecques après la Première Guerre mondiale. Voici ce qu’en dit un certain Maurice Denailles, commerçant du Sentier interrogé par les deux journalistes. Celui-ci est un juif d’origine turque, né en 1912, et qui a émigré en France en 1924. Il se souvient de l’arrivée au pouvoir de Mustapha Kemal : « Mes premiers souvenirs sont horribles, dit-il. C’est déjà un génocide. J’ai assisté au massacre des Grecs de Smyrne, j’ai vu des quartiers entiers brûler. J’ai vu les Turcs parader avec des colliers faits de bouts de seins. J’ai vu des popes grecs descendre en rang le long des rues, obligés de marcher sur des tessons de bouteilles jetés par la foule. »
Maurice Denailles, quant à lui, se réjouit que les juifs n’aient alors pas eu à souffrir de la fureur des Turcs : « Heureusement, explique-t-il, Kemal avait une mère demi-juive, ce qui nous a valu, cette fois-là, d’être épargnés. » (page 94)
Détruire les églises
Depuis fort longtemps déjà, les juifs nourrissent de grandes espérances sur les Turcs. En 1453, au moment de la prise de Constantinople par les Ottomans, les juifs se réjouissaient de la défaite des chrétiens.
Dans son livre Rendez-vous avec l’islam (Grasset, 2005), Alexandre Adler confirme bien que les juifs ont soutenu à cette époque l’invasion turque, de même qu’ils avaient soutenu l’invasion arabe en Espagne quelques siècles plus tôt. « Partout dans leur avance, écrit-il, les juifs… accueillent les Turcs en libérateurs. » (page 168).
Voici ce qu’en écrit le grand historien juif Léon Poliakov :
« Dans certains milieux marranes, cette victoire des “Ismaélites”, qui a laissé une impression prodigieuse à travers toute l’Europe, fut comprise comme le présage de la chute prochaine “d’Edom” [la chrétienté, ndlr] et de la délivrance imminente d’Israël. »
Les juifs s’attendaient alors à la venue de leur Messie tant espérée : « Un actif conventicule de Marranes à Valence, assuré que le Messie venait d’apparaître sur une montagne près du Bosphore, se prépara alors à émigrer en Turquie : “… Les goys aveugles ne voient pas, disait une zélatrice du groupe, qu’après leur avoir été soumis, notre Dieu fera en sorte que nous dominerons sur eux ; notre Dieu nous a promis que nous irons en Turquie ; nous avons entendu dire que l’Antéchrist va venir ; on dit que le Turc détruira les églises chrétiennes et en fera des étables pour les bestiaux, et qu’aux juifs et aux synagogues, il fera honneur et révérence…” ». (Histoire de l’antisémitisme, tome I, Point Seuil, 1981, p. 155).
L’alliance contre les chrétiens
On sait que de nombreux juifs avaient trouvé refuge dans l’empire ottoman après leur expulsion massive d’Espagne et des nombreuses possessions espagnoles en 1492. Parmi eux, il y avait le fameux Joseph Nassi, qui était l’héritier de la richissime famille Mendès. Celui-ci gagna la faveur du sultan Soliman. Poliakov écrit à son sujet : « Grâce à un réseau international marrane », il fut pendant une quinzaine d’années « l’homme le mieux renseigné d’Europe, et ses informations, doublées de ses cadeaux, lui permettaient de constituer à lui seul un “groupe de pression”, d’infléchir la politique étrangère ottomane, de décider même de déclarations de guerre et de conclusions de paix. » (page 211).
Ennemi juré de la chrétienté, Joseph Nassi entendait bien se venger des chrétiens, par Turcs interposés. En 1569, Nassi, fait duc de Naxos par le Sultan quelques années plus tôt, « conseille à Soliman d’attaquer Venise pour prendre Chypre dont il veut faire un refuge pour les Juifs, écrit Jacques Attali (Les Juifs, le monde et l’argent, Fayard, 2002, pp. 265).
Léon Poliakov écrit pour sa part : « Lorsqu’il poussa en 1570 Sélim à faire la guerre à Venise, l’entreprise débuta par la conquête de Chypre, dont il espérait devenir roi ; on sait que la grande île est le marchepied géographique de la Palestine. Mais la prise de Chypre suscita l’alliance entre Venise, le Saint-Siège et l’Espagne, et aboutit à la grande défaite navale turque à Lépante. En conséquence, Nassi tomba dans une demi-disgrâce… et d’autres favoris juifs le supplantèrent dans la faveur du Sultan… Son nom, qui pendant quinze ans ne cessa de défrayer la correspondance diplomatique européenne, fit encore longtemps après sa mort travailler les imaginations, écrit Poliakov. Il concourut, à travers Le Juif de Malte de Marlowe, à la cristallisation de l’image de Shylock, le marchand de Venise." (p. 214).
Les origines juives du kémalisme
Il faut savoir que le mouvement des Jeunes Turcs au début du XXe siècle, la révolution kémaliste et le laïcisme occidental de la Turquie trouvent une partie de leurs origines dans le judaïsme. Les Donmehs ─ des juifs faussement convertis à l’islam (cf. Psychanalyse du judaïsme, pages 158-164) ─ ont effectivement joué un rôle important dans l’histoire récente de la Turquie. Voici ce qu’en dit Gershom Scholem, qui est l’un des grands penseurs juifs du XXe siècle : Les Donmehs, écrit-il, « ont fourni de nombreux membres à l’intelligentsia des Jeunes Turcs… Ils ont joué un rôle important dans les débuts du Comité Union et Progrès, organisation du mouvement Jeune Turc qui eut son origine à Salonique… On a la preuve que David Bey, un des trois ministres du premier gouvernement Jeune Turc et chef important du parti Jeune Turc, était un Donmeh. » (Le Messianisme juif, 1971, Calmann-Lévy, 1974, p. 235).
Le très influent directeur de presse Alexandre Adler confirme les origines juives et maçonniques de la Turquie kémaliste : « L’un des fondateurs au moins du mouvement Jeune Turc, le 14 juillet 1889, jour centenaire de la prise de la Bastille est un Donmeh avoué, Sükrü Dey. Plusieurs généraux Donmehs se battront à la tête de leurs troupes… dans les malheureuses guerres de l’empire. Mais l’entourage de Mustapha Kemal, malgré sa totale rupture avec son comploteur ministre des Finances donmeh Djazid Bey, sera toujours rempli de sabbatéens [les Donmeh, ndlr] (et par ailleurs d’une coterie de franc-maçons musulmans sunnites à l’origine, de rite écossais). » (Rendez-vous avec l’islam, page 175).
Dans une conférence du 14 mars 2005 à la maison Itshak Rabin, Alexandre Adler s’exprimait un peu plus librement, devant un public juif : « Vous ne serez pas étonnés d’apprendre que j’ai de nombreux amis Donmeh, c’est-à-dire disciples de Sabbataï Zevi, et je les trouve assez extraordinaires… S’il n’y avait pas autant de Donmeh dans les élites turques de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, il n’y aurait pas eu de kémalisme. »
Et Adler ajoute : Les « grands Donmeh » ont été « à la tête de la réforme de l’école en Turquie » et ont créé « les premiers lycées modernes dont celui où Mustapha Kemal a fait ses études à Salonique. Bien sûr, poursuit Adler, les islamistes turcs disent que Kemal lui-même était un Donmeh, c’est faux. En revanche, son entourage, ses amis, étaient fortement Donmeh. » (http://www.beit-haverim.com/anoter/ConfAdler0305.htm).
C’est l’influence de ces juifs Donmeh, convertis faussement à l’islam, qui permet d’expliquer l’alliance actuelle entre la Turquie et Israël, explique Alexandre Adler : « S’il n’y avait pas eu de Donmeh qui ont occupé le poste de ministre des Affaires étrangères durant les trente premières années de la Turquie laïque et qui encore aujourd’hui représentent 40 % des ambassadeurs de Turquie dans le monde, dont la totalité des ambassadeurs de Turquie aux États-Unis, depuis maintenant 1950, sans doute que la Turquie ne serait pas l’alliée d’Israël. » (Cf. Psychanalyse du judaïsme, pages 158-164).
Il reste à savoir dans quelle mesure les généraux donmehs des armées turques ont joué un rôle dans les massacres des chrétiens en Turquie après la Première Guerre mondiale, et dans le génocide des chrétiens d’Arménie. Mais ceci est une autre histoire.
Hervé RYSSEN
Source : http://herveryssen.over-blog.com/pages/juifs-et-turcs-4080240.html
vendredi 12 novembre 2010
Nos ancêtres, pas les vôtres.
L'idéal grec :
Le nez droit, mince, implanté haut, directement en prolongement du front.
Les cheveux noirs et ondulés.
Les cils longs.
Les sourcils fournis et harmonieux.
Les yeux noirs grands et brillants.
Le visage étroit, ciselé, d'une forme ovale régulière, souvent atténué vers le bas.
Le menton est solide et fort.
Les lèvres généreuses.
La pigmentation de la peau est brune-blanche, et non rose-blanche comme les Skuthôn (Schytes) et les Keltôn (Celtes), ni même brune foncée comme les Aiguptious (Egyptiens) et les Aithiopas (Ethiopiens). (cf. "Cherry picking")
Alexandre le Grand n'était ni un Slavo-tatare en crise identitaire (FYROM), ni un Scandinave blond aux yeux bleu (Nordicshit), ni un pédéraste incarné par un irlandais (le juif Oliver Stone et son film de merde) mais de race hellène présentant les mêmes caractéristiques raciales susmentionnées :
Dienekes Pontikos sur l'illégitimité ethnique des Turcs en Asie Mineure
"Many Anatolian Turks have traces of Mongoloid ancestry in their phenotype. Turanids of the kind one is likely to encounter in Uzbekistan are of course rare, but many Turks nonetheless show signs of non-Caucasoid admixture.
Of course the Turks encountered a large population when they arrived in Anatolia, but that does not mean that they were diluted in this population. First of all, only part of the population of Asia Minor converted to Islam and became Turkified linguistically, and it is this part which forms the main native population of Anatolia today, the non-Muslim elements having been killed and driven away long ago.
Among the Turkic-speaking Muslims of deep Anatolian ancestry the presence of non-Caucasoid phenotypic elements is strong; among the average present-day "Turk", less strong yet existent in considerably degree."
"The point is that the early Turks didn't mix with all the population of Asia Minor, but only with part of it, namely the part that became Muslim. They were diluted in a bigger population (of Asia Minor) but not in the total pre-Turkish population of Asia Minor.
Most Turks are hybrids between Anatolians and original Turks, hence Caucasoid with small Mongoloid admixture. There is however a minority of more conservative Turks who are more descended from the original Turks, as well as a minority of Muslims who never came into serious contact with real Turks and is entirely Caucasoid.
So, modern Anatolian Turks = minority of Caucasoids with strong Turanid tendency + majority of Caucasoids with weak Turanid tendency + minority of Caucasoids with no detectible Turanid tendency"
"Turkic speaking groups of Central Asia and Siberia (which is usually what is meant by "Turanid") show an assymetry in the proportion of paternal and maternal Caucasoid lineages, with an overrepresentation of Caucasoid paternal lineages and Mongoloid maternal lineages. This is likely due to the fact that they are descended from steppe Iranic tribes which picked up indigenous women in their Eastern expansion in the prehistoric period, followed by the reverse expansion of Altaic speaking peoples in the last 1,000 years.
http://dienekes.ifreepages.com/blog/...es/000210.html
The assymetry has the following consequence: that early Turks who imposed the Turkish language in Asia Minor were probably more "Caucasoid" paternally and "Mongoloid" maternally. Actually, the early Turks were probably even more "Caucasoid" paternally than the present-day Turkic populations of Central Asia whose patrilineages were further influenced by the westward expansion of the Mongols.
Today's Anatolian Turks exhibit a frequency of 3.4% Mongoloid patrilineages:
http://dienekes.ifreepages.com/blog/...es/000413.html
If we allow that early Turks may have had something like e.g., 1/3 Mongoloid patrilineages, then the current frequency in the Anatolian population would be consistent with ~10% genetic input of Central Asian Turks, a significant amount which explains why Turanid-influenced Anatolian Turks are a common sight, especially since this ~10% is not uniformly distributed in the Anatolian population."
"The Christian Greek-speaking Romans of Asia Minor were Greeks. The present-day Moslem inhabitants of Asia Minor, due to the Seljuk and Ottoman occupation are descendants of the above-mentioned Greeks and other groups (Persians, Caucasians, Balkan peoples, Arabs, Gypsies, original Turks, etc.). Only in Western Asia Minor, Eastern Thrace and the Pontus are groups of people predominantly descended from the Greeks to be found."
"The "Byzantines" were the Greek-speaking, Christian Romans of the Eastern Empire. The "strangers" in Asia Minor are the Moslem Iranoid-Pamiroid-Mongoloid "Turks"."
"Turks" is a euphemism for the Moslem population of Turkey. This population is mostly Anatolian in racial origin, with a generous infusion of Balkan, Caucasian, Arab, Persian, Gypsy as well as some Mongoloid and lesser Negroid elements. Linguistically, the "Turks" are Altaic.
As Moslem, Altaic-speakers of mostly native Anatolian biological origin, the "Turks" are not related to either Ancient Greece or the Eastern Roman Empire. At most, one can say that sizable minorities in the Aegean coastline and in the Pontus are of Greek biological descent, although urbanization and differential fertility rates between secular and Moslem "Turks" is resulting in the rapid extinction of such differences."
Détail amusant, Iskender Kortuglu alias Le fils de la Louve, la pute métisse turanatolienne avait pointé Dienekes Pontikos dans ces liens amis.
Que les louves hybrides retournent au fin fond de leurs steppes.
mercredi 10 novembre 2010
Résiste
Adolf Hitler devant la Grèce partie 2
Les liens entre l'Allemagne national socialiste et la Grèce
« SIGNAL » N° 12, 1941.
« Toute une civilisation lutte pour son existence, et cette civilisation durera mille ans parce qu’elle alliera l’hellénisme et le germanisme. »
(Adolf Hitler, Mein Kampf)
L’ALLEMAGNE ET LA GRECE LIEES POUR TOUJOURS
« Nous avions entendu beaucoup de gens parler de la bravoure et de l’héroïsme de l’armée grecque. Mais n’aurions jamais pu imaginer la bravoure et l’héroïsme que vous, soldats grecs, avez montrés. » – général Böhm, de la Wehrmacht allemande.
Jamais l’esprit grec et l’esprit allemand ne furent aussi proches que durant l’époque nationale-socialiste. L’éthique SS ressemblait au code d’honneur spartiate, pendant que le patriotisme du peuple allemand évoquait celui des anciens Grecs. Le caractère aristocratique et méritocratique du régime nazi était lui aussi une renaissance de l’ancienne dimokratia grecque. Les parades martiales ressemblaient à celles de l’armée d’Alexandre le Grand, et les valeurs traditionnelles de famille, de race et de nation étaient les mêmes que celles des Grecs. L’eugénisme fut aussi une invention de l’esprit grec, une invention que les Allemands développèrent. Les idéaux de beauté, de santé, de vertu et de bravoure sont des idéaux helléniques historiques. L’admiration pour la beauté du corps humain est aussi purement grecque. Les rituels païens des fêtes nazies étaient apparentés à ceux de la Grèce païenne. Même l’esthétique du national-socialisme est alignée sur celle de l’ancienne Hellade. La cosmogonie nationale-socialiste est si proche de la grecque qu’on pourrait facilement les confondre.
De telles similarités ne sont pas sorties de rien. Non, le fait est qu’il y a en effet des liens de longue date entre l’Allemagne et la Grèce. Il y a certainement une union métaphysique entre la Grèce et l’Allemagne. C’est un lien spirituel, car les deux nations partagent des valeurs et un caractère similaires qui transcendent le monde physique. Les philosophes grecs et les philosophes allemands, l’éthique païenne des Grecs et l’éthique païenne des Allemands, la mythologie grecque et la mythologie germanique, la sensibilité artistique grecque et la sensibilité artistique allemande, sont tous nés de la même tournure d’esprit, de la même âme raciale, du même sang. C’est vrai, la Grèce et l’Allemagne sont métaphysiquement unies par une base de valeurs morales et spirituelles. Une âme formée exactement des mêmes valeurs, des mêmes traits.
Les Allemands modernes, comme les Grecs modernes, sont très conscients de ce lien. Ils voient dans les autres un peuple apparenté. Quand l’Allemagne occupa la Grèce, les officiels et les soldats allemands se pressèrent aussitôt devant l’Acropole et les autres sites grecs, avec une dévotion religieuse. Les militaires allemands approchaient des vestiges de l’ancienne Grèce d’une manière si respectueuse qu’on aurait pu croire que ces vestiges étaient l’héritage direct des ancêtres des Allemands ! Dès que la Grèce fit partie du Troisième Reich, la machinerie archéologique allemande se mit en marche. Himmler ordonna des explorations, Hitler commanda des fouilles et beaucoup d’officiers de la Wehrmacht montrèrent un grand intérêt pour la préservation des ruines grecques et pour leur protection sur leur sol natal hellénique. D’après l’historiographie nationale-socialiste, les anciens Grecs étaient les ancêtres des Allemands modernes.
Oui, Hitler utilisa des motifs grecs et des insignes helléniques pour envelopper l’image de son mouvement politique et, en faisant cela, aligna le destin de l’Allemagne fasciste sur les traditions antiques, mais les liens transcendent l’esthétique pour atteindre une dimension métaphysique.
L’ALLEMAGNE ET LA GRECE :
CE QU’ELLES ONT ETE ET CE QU’ELLES SERONT
« Que chacun soit grec à sa manière, mais qu’il le soit ! »
(Goethe)
Pendant la campagne gréco-allemande eut lieu un événement unique dans la série de batailles que le Reich avait menées depuis 1939 : les Allemands se contentèrent de désarmer les soldats grecs et de les renvoyer immédiatement dans leurs foyers. Les souffrances de la captivité ne leur furent pas épargnées seulement parce qu’ils avaient combattu héroïquement ; le fait que nous ne voulions pas les faire prisonniers est la plus claire expression de l’affection qui nous unit, nous Allemands, à eux.
LE MYTHE DE PERGAME
Le nom de l’Hellade a pour tous les Allemands une résonance particulière. Dans la capitale du Reich, Berlin, existe un musée construit spécialement dans l’un des endroits les plus beaux, l’autel de Pergame, que les archéologues allemands ont extrait du sol turc. En Allemagne, c’est un véritable centre de pèlerinage. Les professeurs emmènent les étudiants devant cet autel et leur expliquent le sens de la fresque, un don suprême fait au monde par l’esprit hellénique.
Sur cette fresque, les géants de l’abysse mènent une terrible bataille pour le pouvoir contre les enfants de la Lumière, les dieux du Mont Olympe. C’est le combat que la masse grossière des Ténèbres mène contre les porteurs de la Lumière, qui détient la force de l’esprit. Les forces brutales et primitives contre la civilisation. Les enfants des ténèbres ne peuvent pas éteindre le feu sacré et, vaincus, ils retournent dans la nuit, d’où ils étaient sortis ; l’esprit prévaut pour toujours sur la matière. C’est de cette manière que les professeurs expliquent à la jeunesse allemande l’ancien mythe gravé sur la fresque de Pergame. Par conséquent, comme il a dû être difficile pour les Allemands de prendre les armes contre les Grecs ! Le combat requérait une énergie redoublée, afin d’épargner autant que possible les souffrances de la guerre ou du moins de les abréger. Durant cette campagne, aucun Grec ne fut maltraité dans le Reich et l’Allemagne déclara immédiatement après la fin de la campagne que la Grèce devait être séparée du petit groupe de puissances qui l’avait faite entrer dans cette guerre contre-nature. Oui, la guerre entre l’Allemagne et la Grèce fut considérée comme monstrueuse par les Allemands. Dans les deux derniers siècles, le peuple allemand a constamment prouvé par des paroles et par des faits son étroite amitié avec le peuple grec et à quel point il était important pour les Allemands de vivre en amitié avec les Grecs.
Quand les Grecs se soulevèrent en 1821 contre l’occupant turc et proclamèrent le combat pour la liberté, une énorme foule de jeunes Allemands se portèrent volontaires pour combattre aux cotés des Grecs. Cela eut lieu bien que l’Allemagne souffrait encore de l’effort surhumain de sa propre guerre de libération contre la tyrannie française. Goethe, notre pur génie, bénit l’action de la jeunesse philo-hellénique d’Europe et considéra comme un symbole que l’héroïque Lord Byron, qui donna sa vie en Grèce en combattant contre l’Angleterre, était mort dans les bras d’un Allemand, le Dr. Heinrich Treiber, qui combattait dans les rangs des rebelles grecs en tant que docteur et soldat. Quand les Grecs gagnèrent la liberté, ce fut ce Dr. Treiber qui dirigea bénévolement la nouvelle organisation sanitaire grecque. En 1854, une épidémie de peste apparut à Athènes et au Pirée. Parmi les Grecs on pouvait voir un vieil homme parcourant les rues désolées ; c’était encore ce Dr. Treiber, qui se rendait chez les malades pour leur apporter une aide médicale. Mais il ne fut qu’un des enfants du Reich qui avaient consacré leur vie à la Grèce.
L’Allemagne n’a pas l’intention de marchander la participation des autres nations pendant ces années, et n’affirme pas non plus que son amour pour la Grèce est inspiré seulement par les sentiments d’un bon Samaritain. L’Allemagne voulait quelque chose de la Grèce, elle voulait arriver aux sources de cet esprit auquel les Allemands se sentent si attachés.
LE REVE BYZANTIN
La conscience hellénique, telle que les Allemands la comprenaient, était étrange pour les Grecs du siècle dernier, pour les combattants de la Guerre d’Indépendance de 1821. Ils ne voyaient pas leur cause avec les yeux d’Homère, dont les chants furent si rapidement traduits en langue allemande par Heinrich Voss. Il s’était écoulé presque deux mille ans depuis la Grèce antique qui se souvenait de l’âme des Germains. Troie, Olympie et les tombes de Mycènes étaient recouvertes de déchets et de cailloux ; l’Acropole était devenue un entrepôt de poudre à coté duquel les Turcs avaient bâti une mosquée, et les soldats, pour se distraire, tiraient sur les figures des fresques du Parthénon et les Grecs eux-mêmes ne s’indignaient pas en voyant les figures de Phidias transformées en cibles.
Les anciens dieux avaient disparu de la mémoire des Grecs, et l’Eglise Orthodoxe grecque était la force dans laquelle les Grecs mettaient leurs espoirs. Ils vivaient le rêve de Byzance. Tous les Grecs orthodoxes devaient être libérés. Et ainsi, les Grecs du XVIIIe siècle considéraient comme parfaitement naturel que le tsar Pierre de Russie, un autre chrétien orthodoxe, soit leur libérateur. Les Grecs ne peuvent pas être blâmés pour ne pas se considérer comme des Grecs homériques mais comme des Grecs orthodoxes, parce qu’ils avaient vécu 1.700 ans au cœur du monde chrétien et de la conscience chrétienne. Ils étaient donc stupéfaits de voir d’autres Européens venir dans leur pays pour déterrer de vieilles cités et regarder des temples et des tombes antiques.
UN CAPTIF D’HOMERE
A cette époque, un apprenti commerçant nommé Schliemann vivait dans la petite ville allemande de Mecklenburg. Ce fils bohémien des Muses récitait souvent des vers grecs, dont les sonorités énigmatiques enchantaient le garçon. Il décida d’apprendre le grec et de trouver assez d’argent pour aller en Grèce et rendre visite aux héros de Homère.
Le garçon resta fidèle à ses intentions. En Amérique il gagna une fortune, puis quitta les affaires et arriva, entre les mains de son Homère admiré, sur le sol historique de la Grèce. Avec une vision prophétique et guidé par son illusion, il pointa le doigt vers un endroit dans le sol stérile, près de la mer, et dit : « C’est là que les héros troyens combattirent ». N’ayant absolument aucune idée de l’archéologie, il commença son travail avec des ouvriers dévoués et finalement découvrit non seulement Troie, mais aussi les bijoux d’or d’Hélène de Troie. Ensuite il se rendit à Mycènes et il mit à jour les vraies tombes avec des masques d’or, leurs pierres précieuses et leurs trésors d’une inconcevable richesse. Avec ses propres ressources, il construisit à Athènes une galerie pour ces trésors et les donna aux Grecs. Passionné par ces travaux, déterrant et découvrant toujours de nouvelles merveilles, il vécut en Grèce jusqu’à son dernier jour.
LA GRECE ET LA POLITIQUE MONDIALE
En 1828 la Guerre d’Indépendance était finie, une guerre dans laquelle les Grecs purent compter sur l’aide de la jeunesse idéaliste d’Europe, mais dès qu’ils obtinrent quelque appui de la part des grandes puissances, ils leur firent confiance. Les rebelles grecs, ces Grecs chez qui la flamme de la liberté s’était si vite rallumée, avaient oublié ce qu’était la grande politique ! Ils l’avaient eux-mêmes initiée au temps de leurs ancêtres, au temps des Grecs de l’Antiquité, qui avaient conquis les Dardanelles et les bords de l’Afrique et occupé les îles de Chypre et de Crète. Alexandre le Grand était entré en Inde et conquis l’Egypte. Depuis ce temps de nombreux siècles avaient passé et la Grèce était tombée sous la domination turque. Alors l’Angleterre commença à faire de la politique mondiale. Elle étendit ses tentacules jusqu’à l’Egypte et l’Inde et s’assura fermement les Dardanelles, pour que la route des Indes ne soit pas menacée ; de la même façon, elle occupa l’Egypte quand le canal de Suez devint un risque pour sa route vers les Indes. Une Grèce forte, en possession des Dardanelles, aurait alors été aussi dangereuse qu’une Turquie puissante pour la politique mondiale de l’Angleterre.
Mais cela n’aurait pas pu être fait sans l’impétueuse soif grecque de liberté nationale, et pour cette raison l’Angleterre, la France et la Russie garantirent l’existence d’un petit Etat grec. A première vue, cette garantie semblait solide, mais elle eut plus tard des répercussions fatales pour la Grèce, qui par deux fois fut obligée d’entrer en guerre contre l’Allemagne et ses alliés. Dans les deux cas, la Grande-Bretagne pressa la Grèce d’attaquer le flanc allemand à partir de Salonique. Dans les deux cas, les Grecs furent entraînés à trahir leur véritable inclination qui leur interdisait d’entreprendre des hostilités contre l’Allemagne, aveuglés par des promesses trompeuses de compensations. Après la Première Guerre Mondiale la Grèce reçut des territoires aux dépens des alliés de l’Allemagne, ce qui fit croire aux Grecs qu’ils étaient devenus une grande puissance et les poussa à prendre les armes contre la Turquie. Ils croyaient les Turcs définitivement affaiblis par la Première Guerre Mondiale, mais leur calcul était erroné. Les Grecs furent repoussés avec une énorme force et la Grèce perdit plus qu’elle n’avait gagné précédemment. Ses alliés de la Première Guerre Mondiale la laissèrent seule pendant son combat. L’Angleterre n’avait aucun intérêt à ce que la Grèce devienne le possesseur définitif des Dardanelles. Ce cruel revers, dont les conséquences furent qu’un million et demi de Grecs, réduits à la misère, durent quitter la Turquie, mit fin au vieux rêve byzantin.
UNE SECONDE SALONIQUE ?
En 1940-41, quand les Anglais voulurent utiliser la tactique de Salonique une seconde fois, le roi grec conçut à nouveau le vieux rêve byzantin et s’y cramponna. La partie est terminée maintenant, et les Anglais sont installés en Crète dans le but de la transformer, comme Chypre, en une possession britannique. Les Grecs auraient pu facilement déduire de l’histoire de leur patrie la leçon la plus appropriée : « Connais-toi toi-même ! ». L’Allemagne a toujours aidé les Grecs à obtenir cette connaissance d’eux-mêmes.
Le chemin des Allemands est très similaire à celui des Grecs. Tout comme la Grèce antique était divisée en de nombreux petits Etats, les Allemands aussi manquaient d’unité. La Grèce conçut jadis une idée nationale unifiante ; ce fut l’idéal d’Olympie. Tous les quatre ans, les meilleurs parmi les Grecs se rencontraient à Olympie. L’idée unifiante chez les Allemands fut l’idée que leur Empire était Saint. Quand les 26 petits Etats allemands furent à nouveau réunis en une sainte Allemagne, l’empereur Guillaume 1er donna aux Grecs le signal et les moyens d’un énorme travail. Il ordonna à l’archéologue allemand Curtius de mener les travaux de fouille à Olympie. Quand cela fut fait, la science archéologique allemande put être fière d’avoir obtenu des résultats magnifiques en Grèce.
Après avoir gagné leur combat pour la liberté, les Grecs choisirent comme roi le prince Otto de Bavière, fils de Louis, le monarque philo-hellène. Otto fut évidemment accompagné en Grèce par de nombreux Allemands, dont des scientifiques. Ce n’est pas notre intention d’accuser les Grecs, 40 ans plus tard, d’avoir considéré comme oppressive la prédominance des Allemands dans la bureaucratie ; en fait ils avaient raison. Ici nous parlons d’archéologie seulement. Cependant, on peut dire incidemment que le grand architecte allemand Klenze fut le créateur du projet de construction d’Athènes, qui n’était rien de plus qu’un village quand la Guerre d’Indépendance grecque se termina. Ce sont les Allemands aussi qui introduisirent pour la première fois dans le Péloponnèse la culture de la vigne et restituèrent ainsi au pays de Dionysos son ancien caractère.
LE TEMPLE DE NIKA RENAIT
L’archéologue allemand Ludwig Ross fut nommé chef du Service des Etudes Antiques en Grèce par le roi Otto. Ross avait déjà ordonné en 1835 la démolition d’un mur construit en 1687 par les Turcs avec des pierres prises sur l’ancien temple de Nika, la déesse grecque de la victoire. Ross le reconstruisit avec ces pierres à l’endroit d’origine et le grand temple salue aujourd’hui les voyageurs comme il le faisait dans l’Antiquité. Le livre que Ross écrivit sur la Grèce compte parmi les travaux classiques de l’archéologie.
D’une manière similaire, Ross passa le reste de sa vie en Grèce. Son plus grand travail fut l’exhumation d’Olympie, la scène des plus fameuses célébrations de l’ancienne Hellade. Cet effort fut purement allemand. Il avait déjà été envisagé au XVIIIe siècle par Winckelmann, le fondateur de la nouvelle esthétique. Finalement, cela devint un fait en 1875. Les travaux de fouille durèrent de 1875 à 1880. La statue d’Hermès par Praxitèle apparut pendant ces travaux avec une pureté aveuglante.
Les fouilles à Olympie devinrent l’école pratique supérieure de l’archéologie moderne. Les noms de Wilhelm Dörpfeld et Adolf Furtwängler – père du célèbre chef d’orchestre allemand – sont éternellement liés à Olympie. Avant le début des fouilles, l’Allemagne conclut avec le gouvernement grec un accord selon lequel les découvertes d’Olympie devraient rester en Grèce. L’Allemagne est toujours restée fidèle à sa parole.
Elles sont conservées dans un musée qui reçoit des milliers de visiteurs chaque année. Les fameuses portes du temple de Zeus et tant d’autres merveilles ont instillé à nouveau dans la jeunesse du monde l’enthousiasme pour la beauté du corps humain. Ce sont les étincelles qui ont allumé le nouvel idéal olympique. Après les célèbres Jeux Olympiques de 1936 à Berlin, le Führer donna l’ordre de reprendre les fouilles à Olympie. Il fournit lui-même les moyens. La direction de ces travaux est confiée à l’Institut Archéologique Allemand d’Athènes, qui existe depuis 1874. Les nouvelles fouilles ont commencé dans le stade, dont les murs ont été localisés. Mais des travaux ont déjà commencé dans d’autres lieux, allant jusqu’aux confins d’Altis. Le sol s’est révélé plus productif que prévu. De nouvelles procédures de conservation ont permis d’extraire intacts plusieurs bronzes avec des reliefs ciselés, datant des VIIe et VIe siècles avant J.C.
L’ARCHEOLOGIE N’EST PAS UNE SCIENCE MORTE !
Durant la campagne de 1941, les archéologues allemands sont restés fermement à leur poste. A mesure que le temps passe, la conscience des Grecs grandit, la conscience de ce que les Grecs doivent aux hommes admirables qui ont sortis de la terre ces témoignages du passé, poussés seulement par un esprit désintéressé d’exploration. Nous avons pu vérifier que notre vieux pressentiment, que nous Allemands sommes spécialement liés aux Grecs dans l’ordre spirituel, est vrai. Les découvertes de l’Antiquité nous ont prouvé qu’elles sont en accord avec les faits sur le sol. Le style architectonique des Grecs et des Allemands est le même et des coïncidences surprenantes ont aussi été notées, même dans les détails les plus subtils.
Par conséquent, l’archéologie n’est pas une science morte ; elle a affiné notre vision des particularités de la famille commune des peuples européens ; elle nous a conduit à fouler à nouveau les chemins qui ont fait de l’Europe la porteuse de lumière opposée aux puissances des ténèbres. La leçon d’Olympie est, pour nous, celle-ci : « Connais-toi toi-même et devient suffisamment fort pour que tu puisse compter seulement sur toi-même et sur tes propres forces ». Cette leçon d’Olympie a conduit les Allemands vers la Renaissance et vers l’approfondissement de notre propre force nationale, une force dont l’ambition est de faire épanouir notre nation sans aucune aide étrangère.
POURQUOI LES GRECS NAVIGUENT-ILS ?
Pendant longtemps, la Grèce dut suivre d’autres voies que la sienne. Quand les Grecs se libérèrent du joug de la domination étrangère, ils trouvèrent dans leur pays des problèmes identiques à ceux de l’Antiquité. La Grèce est un pays montagneux et pauvre avec peu de forêts. Les produits les plus nécessaires, les céréales, peuvent difficilement pousser ici. La Thessalie était jadis le grenier de l’Antiquité, mais sous la domination turque, quand le pays ne pouvait pas recevoir des produits venant d’autres régions pour transformer les céréales en pain, elle se consacra à la culture du tabac. La Grèce libre, par conséquent, était un pays sans production céréalière suffisante. Dans l’Antiquité, l’agriculture était très difficile en Grèce parce qu’il n’y avait pas assez de fer pour faire des charrues ; quand Alexander le Grand marcha vers l’Inde, il était le seul homme dans son armée à porter un casque d’acier. L’acier valait alors aussi cher que l’or.
Cette difficulté obligea les anciens Grecs à acquérir des céréales venant de régions plus fertiles. C’est la vraie raison pour laquelle ils visitaient les pays étrangers et pratiquaient le commerce. Leurs talents innés de navigateurs et leur instinct mathématique les aidèrent dans cette aventure. Après la libération grecque au XIXe siècle, la Grèce développa l’agronomie intensive. Durant ce siècle il y avait du fer à profusion et pour une fois la Grèce était sur le point de devenir le pays agricole le plus moderne du monde. Cela avait été une évolution naturelle parce que – tout comme aujourd’hui – plus de 60% des Grecs étaient des fermiers et parce que les gens vivaient pour la plupart dans la campagne.
Durant l’ère de la grande croissance industrielle et capitaliste, cette idée ne parvint pas en Grèce. L’Angleterre et la France, les protectrices de la Grèce, ne purent pas instiller cette pensée et elles se contentèrent de prêter de l’argent ; avec des intérêts abusifs, naturellement, et ainsi il arriva ce qui devait arriver : le pauvre pays s’effondra finalement à la fin du siècle dernier sous le poids de ses dettes et dut se déclarer en faillite. Le fait que les Grecs aient constamment tenté de se débarrasser de leurs dettes constitue une indication de leur ténacité et de leur énergie. Comme son économie agraire n’était pas suffisante, la Grèce moderne dut avoir recours à la même ressource que les Anciens : la navigation. Les navigateurs grecs sont aujourd’hui connus sur toutes les mers. Ils ont les mêmes aptitudes que leurs ancêtres, mais comme ils sont les plus pauvres de tous les marins, ils ont aussi les plus mauvais bateaux du monde.
QUE VA-T-IL SE PASSER ?
Ainsi, la Grèce aussi vit aujourd’hui dans une situation précaire et est un pays pauvre, affecté par des préoccupations constantes. Le miracle national de la Grèce est que cette nécessité n’a jamais poussé les Grecs à renoncer à leurs vertus. Aujourd’hui les Grecs sont aussi hospitaliers, nobles et vaillants que dans l’Antiquité. Ces vertus indiquent en effet que la conscience nationale grecque acquérra de plus en plus d’intensité. La Grèce ne peut compter que sur elle-même. A quoi ont servi les routes construites par les capitalistes étrangers en Grèce ? Elles avaient un aspect superbe au début, mais elles ont déjà disparu ; cela constitue un symbole de beaucoup d’autres choses.
Pour nous Allemands, la bonne réputation que le travail allemand a en Grèce constitue un honneur. Le nouveau métro d’Athènes et le réseau téléphonique moderne sont deux de ces travaux. La Grèce fait d’importantes transactions commerciales avec l’Allemagne. Nous sommes les plus grands acheteurs de tabac grec et les Grecs nous achètent des médicaments et des machines. Ils nous envoient du tabac, des raisins de Corinthe et de l’huile d’olive, et pourraient nous donner plus si leur agronomie s’améliorait. La condition préalable à cela est l’organisation des voies de communications, la reforestation et l’amélioration de l’économie hydraulique. Le Reich peut aider la Grèce dans ces tâches en lui fournissant des machines et des ingénieurs, mais le travail doit être fait par les Grecs eux-mêmes avec leurs propres forces.
(publié dans « Signal » N° 12, 1941)
LA GRECE DANS LE TROISIEME REICH
La Grèce fit partie du Troisième Reich entre 1941 et 1944. Les Allemands hissèrent le drapeau à svastika sur la colline de l’Acropole le 27 avril 1941, marquant le début de quatre des plus glorieuses années de l’histoire grecque moderne.
L’armée grecque reconnut sa défaite par le général George Tsolakoglou au printemps 1941, et un nouveau gouvernement pronazi fut immédiatement constitué. Le gouvernement fantoche grec hérita de la plus grande partie de l’infrastructure du précédent gouvernement de Metaxas. Comme dans toutes les autres nations occupées par l’Allemagne, le principal but du gouvernement fantoche fut d’assurer l’ordre politique et militaire intérieur dans le pays jusqu’à la fin de la guerre.
Tsolakoglou lui-même devint Premier Ministre du premier cabinet. Après quelque temps Tsolakoglou fut remplacé par un fervent admirateur du national-socialisme, le docteur Konstantinos Logothetopoulos. Par cette mesure Hitler espérait que Logothetopoulos augmente l’aide des Grecs aux forces de l’Axe, ce que les Grecs pouvaient difficilement faire. Logothetopoulos fut plus tard remplacé par Ioannis Rallis, l’ancien dirigeant du parti conservateur Laïko Komma (Parti Populaire), qui gouverna le pays jusqu’à la fin de la guerre. Après le retrait allemand, Rallis fut arrêté et condamné à la prison à vie. Il mourut en prison en 1946.
COLLABORATIONNISME GREC
De nombreux soldats de l’armée grecque furent appelés à devenir des collaborateurs des forces d’occupation pour aider les Allemands dans tout le pays. Environ 34 ou 35.000 collaborateurs grecs constituèrent diverses unités pour aider les Allemands. Les unités concernées incluent les chemises noires, les régiments grecs Evzone, les gendarmes, les bataillons de la milice grecque et les bataillons grecs de sécurité.
Parmi les unités collaborationnistes, l’une des plus remarquables étaient les « Skutari » de l’île de Crète et en particulier le fameux « Poulos Verband ». Le Poulos Verband faisait techniquement partie de l’Ordnungspolizei (Police d’Ordre) allemande, et fut constituée et commandée par l’officier grec Georges Poulos. Ce groupe était distinct des régiments Evzone, de la gendarmerie volontaire, des bataillons de la milice et des bataillons de sécurité parce qu’à la différence de ces autres unités grecques, ils combattaient pour le Troisième Reich plutôt que de combattre simplement la résistance et les communistes. Le Poulos Verband entra même en action en-dehors de la Grèce, en Slovénie, où il combattit les partisans slovènes de novembre 1944 à mars 1945. Après avoir combattu en Slovénie, le Poulos Verband fut envoyé en Autriche où un « Comité National Grec » avait été formé. Là, l’unité assura la garde de divers collaborateurs grecs et serbes. Entre autres personnalités, le Poulos Verband assura la garde de Sa Sainteté Gavrilo, Patriarche de l’Eglise Orthodoxe serbe, et de Milan Nedic, Premier Ministre serbe.
Parmi les forces collaborationnistes se trouvaient aussi des conservateurs non-nazis ; la plupart d’entre eux rejoignirent les bataillons de sécurité parce qu’ils pensaient que la véritable menace pour la Grèce venait du marxisme et de la guérilla communiste (EAM-ELAS) et que l’occupation allemande n’était qu’une infortune temporaire. La guérilla communiste (« Andartiko ») non seulement s’attaqua aux forces collaborationnistes, mais commit aussi de grandes atrocités contre les civils grecs. Cela explique que certains Grecs rejoignirent les bataillons de sécurité non pas à cause de convictions nationale-socialistes, mais parce qu’ils voyaient dans le communisme le plus grand problème du pays.
LES WAFFEN SS GRECS
Pendant toutes les années de l’occupation, le docteur Sterodimos (l’un des plus fidèles collaborateurs de haut rang et également chef de l’ESPO, l’Organisation Politique Nationale Socialiste) recruta d’anciens officiers et soldats d’extrême-droite pour créer une légion grecque de la Waffen SS, qui ne vit jamais le jour. Cependant, cela n’empêcha pas quelque 1.000 Grecs de Grèce (« helladiques ») de s’engager comme volontaires dans la Waffen SS. En plus de cette contribution, plus de 3.000 Grecs pontiques (Grecs de la Mer Noire) rejoignirent la 14ème division de la SS paneuropéenne. Le nombre de 1.000 engagés dans la Waffen SS peut sembler modeste, mais ce n’est pas le cas. Par exemple, seulement 500 volontaires [1] vinrent de l’Espagne bien plus peuplée, seulement 100 de la Grande-Bretagne, et environ 750 de Suède. En tous cas, tous ces pays étaient largement dépassés par les 50.000 Hollandais, les 40.000 Hongrois, les 25.000 Lettons et les 10.000 Français qui rejoignirent l’Armée Européenne du Reich. A gauche, Kostas Oikonomidis, l’un des volontaires grecs de la Waffen SS. Il devait périr plus tard en combattant l’Andartiko (la résistance grecque).
[1] Ce chiffre n’inclut pas les milliers de volontaires de la division « Azul » qui combattit aux cotés des Allemands sur le Front de l’Est de 1941 à 1943. (NDT)
LES GRECS DANS LA HIERARCHIE NAZIE ALLEMANDE
Il y avait aussi des Grecs ou des Allemands d’origine grecque dans les rangs du système politique nazi allemand et dans l’armée.
Politiquement, le plus célèbre était Rudolf Hess. Hess était en partie grec puisque sa mère était grecque ; Hess était né à Alexandrie en Egypte, où il y a toujours eu une communauté grecque active et riche. Le second prénom de Rudolf Hess était Georgiadis.
Parmi les militaires, le plus fameux était Wilhelm Kanaris. Kanaris devint chef de l’Abwehr le 1er janvier 1935, et le dirigea pendant toute la Seconde Guerre mondiale. Il était partiellement grec, étant le petit-fils de Constantin Kanaris, amiral grec, combattant de la liberté et ancien Premier Ministre.
Sevastianos Foulidis était aussi un officier de la Wehrmacht. Il était le principal espion de Hitler en Grèce. Il fournit aux Allemands des informations vitales sur la guerre dans la région sud des Balkans. Foulidis était officiellement major dans l’armée allemande.
REFERENCES
- Nikolas D. Christodoulou, Pro-Axis Security Battalions in Southern Greece, 1943-1944.
- Antonio J. Muñoz, Herakles and the Swastika: Greek Volunteers in the German Army, Police and SS. Axis Europa Books 2001.
- Andrikopoulos, Die Würzeln des griechischen Faschismus.
- Nikoloudis, Th.: Der Neue Staat, Sept. 1937
- Konstantinos Plevris, Ioannis Metaxas (Biography), Nea Thesis, 1996
- Jon V. Kofas, Autoritharism in Greece: the Metaxas years, Boulder, 1983
- Harry Kliadakis, Metaxas regime and the Second World War, Revue d´Histoire de la Deuxième Guerre Mondiale, 1977
- Mavrokordatis, Hanno, Le fascisme en Grèce pendant la guerre (1941-1944)
Source : http://raknagar.blogspot.com/2007/10/les-liens-entre-lallemagne-national.html
samedi 6 novembre 2010
Dienekes' ADMIXTURE dodecad
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